Annulation : Pour des raisons médicales, Redcar (Christine and the Queens) ne pourra malheureusement pas être avec nous pour cette nouvelle édition de WE LOVE GREEN x LUMA Arles.
La collaboration LUMA Arles x WE LOVE GREEN est de retour ! Le festival parisien s’installe pour un soir de fête en Méditerranée au Parc des Ateliers, entre architecture industrielle et contemporaine.
En mouvement perpétuel, en effervescence permanente, les quatre comparses évoluent au gré des courants musicaux contemporains, empruntant ici à l’électro, là au rap, sans jamais perdre les racines rock sixties et seventies qui les ont inspirés à leurs débuts depuis la côte basque. Au sommet d’une nouvelle vague française dont on ne compte plus les enfants et les cousins, La Femme a sillonné tous les territoires depuis dix ans, avec près de 500 concerts à travers le monde (dont plus d’une centaine en Amérique).
Un rappeur, c’est avant tout une voix. Celle de Gazo est à l’image du personnage : éraillée, grave, et menaçante. Elle est aussi l’une des plus en vue de la vague drill française, sous-genre rap qui a tout ravagé sur son passage dans l’Hexagone en 2020, et qui a vu une nuée de jeunes rappeurs tenter de s’y faire un nom.
En un an, on l’a vu collaborer avec Hamza sur « Drill FR 5 », avec Jul sur « Dors on te piétine », avec Kaaris sur « Five-O », ou plus récemment prêter main forte à Gims sur son dernier album avec le titre « Oro Jackson », mais son véritable coup de force est certainement « Drill FR 4 », en featuring avec Freeze Corleone.
Dans sa musique, la voix singulière et pure d’Ásgeir tisse des récits nous menant vers les routes clairsemées et sombres de sa ville natale Islandaise. Il retransmet l’esthétique des paysages ondulants inspirés par la relation que l’artiste a entretenu avec la musique ces deux dernières années, qu’il consommait principalement lorsqu’il courait en plein air ou lors de longs trajets en voiture.
Ásgeir nous invite à nous glisser au-delà des frontières, qu’elles soient physiques, imaginaires ou encore celles que nous nous imposons. Il est question de liberté, de désir d’aventure pour échapper à l’isolement mais également d’apprécier les merveilles de la nature qui nous entourent chaque jour.
La musique de yunè pinku explore les nombreuses facettes de la vie d'un jeune de nos jours.
"J'essaie d'exprimer ce sentiment complexe d'entre deux que tout le monde éprouve mais que personne ne décrit : quand vous avez l'impression que vous devriez être heureux mais que vous ne l'êtes pas, ou que vous êtes à une fête mais que vous vous sentez comme déconnecté."
Sa musique reflète ce sentiment de détachement désincarné. Mi-malaisienne et mi-irlandaise, yunè pinku est basée dans le Sud-Est de Londres. Elle pose sa voix mélancolique sur une production qui puise dans les registres de la rave britannique, plus rythmée et structurée. C'est une musique pour les befores, les lendemains de soirée et les trajets en Uber à 8 heures du matin.
Inspirée par le cloud rap autotuné et le dancehall emo sad, Babysolo33 compose comme elle écrirait son journal intime, avec une mélancolie qui nous propulse dans un voyage faussement naïf. A travers des collaborations avec les plus grands producteurs du moment, Babysolo33 nous embarque dans un teenmovie qui dévoile ses rages, ses rêves et ses déceptions amoureuses.
LPB