Rentrée musique
Marseille, ville métisse… Par-delà le cliché, quelques signes indiquent à notre journaliste le chemin vers la lumière… (lire la suite)
Marseille, ville métisse… Par-delà le cliché, quelques signes indiquent à notre journaliste le chemin vers la lumière… (lire la suite)
C’est connu, à Marseille, il y a plus de théâtres que partout en France. Alors pour éviter un pénible catalogue des spectacles à ne pas rater, voici une sélection foncièrement injuste, car délibérément orientée… (lire la suite)
Alors que les galeries associatives des années 90 cherchent une nouvelle dynamique, la rentrée reste plongée dans une certaine morosité, essoufflée par la politique saisonnière des « grands événements ». Il y a, néanmoins, une vie après Cézanne. Il suffit de réinventer un regard face à la capacité permanente de l’art à redessiner le monde.
La danse contemporaine s’offre sur trois plateaux cette saison : le Pavillon Noir ouvre grand ses portes à Aix, le Ballet National de Marseille densifie ses activités et le festival DanseM s’ancre tranquillement mais profondément dans la région… (lire la suite)
Incontestablement, la rentrée cinématographique s’engage dans une période de grande transition. Tant en macro qu’en micro-vision. Tant sur un plan international que local. De nombreuses questions se sont ouvertes cette année, qui demanderont à l’art cinématographique et audiovisuel de développer toute une capacité de renouvellement et d’adaptation.
Voilà maintenant huit ans que Mars attaque. Mais aussi, pour esquisser un résumé des aléas des éditions précédentes, huit ans que ce festival se défend : contre vents, marées, et autres difficultés rencontrées par toute personne désireuse, à Marseille, de faire sortir les musiques électroniques hors de leurs carcans respectifs, afin de les faire partager… (lire la suite)
Il y a deux ans presque jour pour jour, nous abordions la rentrée pétris de bonnes intentions et avec une ferme résolution : faire de Ventilo un journal qui nous ressemble plus. Un support qui, tout en conservant son rôle de « service public » grâce à un agenda toujours plus complet, reflèterait mieux son époque, et parlerait davantage à une génération écartelée entre sa conscience politique, ses velléités… (lire la suite)