Afropéennes par la Cie La Part du Pauvre au Théâtre des Bernardines
Avec beaucoup de conviction, Eva Doumbia porte sur scène des textes d’écrivaines noires, livrant un voyage qui n’a de cesse de réfléchir à l’histoire et son métissage.
Avec beaucoup de conviction, Eva Doumbia porte sur scène des textes d’écrivaines noires, livrant un voyage qui n’a de cesse de réfléchir à l’histoire et son métissage.
Depuis l’arrivée de la nouvelle direction et l’année Capitale, la Friche La Belle de Mai s’aménage, réaménage, s’organise et s’ouvre. Tour d’horizon de la dixième édition de Made in Friche et de ses artistes, sans qui tous ces équipements culturels rénovés seraient des coquilles vides.
Le groupe d’artistes chicanos Asco débarque en France à l’invitation de Triangle, pour une exposition qui, sous ses airs ludiques, soulève une judicieuse réflexion sociale.
Au dernier étage de la Tour-Panorama, le chorégraphe plasticien Christian Rizzo et la créatrice lumière Caty Olive présentent l’installation Ou pas, à partir de 3 500 costumes que le Ballet National de Marseille a mis à leur disposition.
Venue elle aussi de Los Angeles, Erika Vogt réalise une installation entre paysage industriel et science-fiction, qu’elle décrit elle-même comme un « champ de débris ».
A l’heure où la cuisine envahit les rues du monde entier avec force food trucks (ces camions transformés en cuisines ambulantes), la ville qui a vu naître le camion pizza se devait d’inscrire son nom — en lettres capitales, cela va de soi — sur
Unframed nous invite à découvrir les dessous de l’exposition monumentale réalisée par le célèbre street artiste JR pour l’année Capitale. Loin d’un regard objectif, il s’agit davantage d’une hagiographie, à la gloire de JR
Comme l’indique sa couverture très graphique, ce beau livre, paru chez les éditions « maison » Le Bec en l’air, se veut une « description de la Friche la Belle de Mai avec de délicats morceaux de fiction dedans ». Exit donc la contextualisation ou
Au-delà de la BD, en direction des archives, des arts numériques, ou encore de l’édition, les treize expositions des Rencontres du 9e Art mettent en lumière l’illustration, laissant au visiteur le soin de conter l’histoire avec son imaginaire. Petit tour d’horizon, en attendant la suite
A la Compagnie, l’exposition qui réunit Boris Chouvellon et Marcin Malaszczak (lauréat du premier prix au FID en 2013) nous embarque dans un monde acide où les hommes sont en marge, mais où tout espoir n’est pas perdu…
Réunis au musée d’art contemporain de Châteauneuf-le-Rouge pour l’exposition Il y avait une fois, sept artistes revisitent les images de l’enfance issues des mythes et des contes. Déroutant.
Initiée par la galerie Art-Cade, l’exposition Reliance ou Achille et la tortue invite des étudiants à développer un travail sur le rapport entre arts et sciences.
Le Polygone étoilé accueille l’équipe de Peuple et Culture Marseille pour un cycle de projections consacré à l’aliénation au travail et aux mécanismes de déshumanisation qui touchent aujourd’hui tous les secteurs d’activités.
Après un festival du polar particulièrement réussi en février, le cinéma Les Lumières de Vitrolles confirme sa vitalité, en proposant un hommage à Paul Carpita, cinéaste marseillais hors du commun.
L’Institut de l’Image consacre un cycle jouissif aux plus belles pages du cinéma fantastique, développant les mécanismes d’un genre majeur.
Suite à la sortie, chez Shellac, du dernier opus de Michel Gondry consacré à Noam Chomsky, le cinéma Le Méliès de Port-de-Bouc propose en avril un cycle de quatre films consacré à l’un des plus grands intellectuels de notre temps.
Certes, Le Printemps des Quais se présente comme un récit biographique extrêmement simplifié, peu importe après tout, l’intention des auteurs étant empreinte d’une jolie sincérité… L’ouvrage raconte l’histoire
Voici un opuscule inspiré du vol puis de la chute d’Icare. Des photographies travaillées à l’encre de Chine mettent en scène un adolescent dans un labyrinthe de tours grises. « Je suis d’une cité