Déclinaison jazzy pour cette Docksession à l’occasion du festival Jazz sur la Ville. Ambiance jazz mais pas que : prévoyez une fusion des genres entre rap, piano, chant et beatbox par le duo marseillais The Mymetist, et un jazz plutôt groovy avec Sudden. Big Buddha se
Si le festival Databit se concentre avant tout sur les nouveaux usages du numérique pour ne plus attendre les ordres du capitalisme sauvage, il ne faudrait pour autant pas négliger l’aspect musical : plusieurs soirées se déroulent pendant la semaine, dont cette clôture en forme de
Atmosphère. Trois Marseillais sont encore morts pour rien, du shit en fumée. Un car de retraités prend feu, l’info continue ressasse le banal accident, si ce n’est son ampleur. Deux mineurs de quinze ans sont assassinés en plein Marseille, on règle des comptes. L’histoire d’un
Pagnol à croquer Avec Le Schounptz, les Belges de la compagnie Marius retrouvent avec joie le pays de Pagnol et réitèrent le succès remporté en juin par leur Figaro à Istres. Invitée dans la ville de Pagnol par le Théâtre Comœdia et la municipalité, la compagnie Marius
Marsactu s’est procuré un rapport sur l’état du réseau des bibliothèques à Marseille. Le constat est terrible, surtout quand on compare l’offre à ce qui se fait dans d’autres grandes villes. Au début du mois de septembre, le directeur des bibliothèques de Marseille, Christian Laget, est
A perte de vues Du Japon à l’Italie en passant par la Provence, le festival Phot’Aix, initié par la Galerie Fontaine Obscure, propose une immersion dans la photographie contemporaine. Focus. Point d’orgue de la manifestation, l’exposition Regards Croisés propose un voyage au Japon depuis la Cité du
Corée graphique L’exposition The Future is Now ! présentée à la Friche nous invite à découvrir une partie de la collection « Nouveaux Médias » du MMCA (Musée National d’Art Moderne et Contemporain de Séoul). Elle met en lumière les œuvres d’une trentaine d’artistes coréens, réalisées des années
Et(h)ernel Dans cadre d’un partenariat avec les festivals RIAM et Actoral, la Compagnie fait résonner deux œuvres d’Iñaki Bonillas et Bertrand Lamarche… Une juste mise en écho rapide à parcourir, mais qui offre le sentiment d’un instant d’éternité. Sitôt entré dans le lieu d’exposition, on est littéralement
Gardanne Party Depuis vingt-sept ans, le Festival Cinématographique d’Automne de Gardanne fête l’image en mouvement via une programmation éclectique et ouverte à tous. Frappée par la disparition récente de sa fondatrice, la manifestation proposera un large éventail de films, maintenant une énergie qui a contribué à
Le paradis perdu A l’occasion de la sortie du livre de Bernard Plossu et Alain Bergala, Periferia, l’équipe de l’Eden, la salle de La Ciotat, revient sur les grands films du néoréalisme italien. Le néoréalisme fut plus qu’un simple courant cinématographique transalpin, il participa à une reconstruction
Un jeu d’enfant Une vingtaine de salles de la région s’emparent chaque automne de la proposition de Cinémas du Sud, Cinémanimé, qui offre la possibilité au jeune public de découvrir vingt-deux films d’animation triés sur le volet, et agrémentés de divers ateliers ludiques. Souvent cité dans ces
La fête et les jambes L’hiver arrive, mais au Dock des Suds en octobre, c’est l’été indien. Comme chaque année depuis près d’un quart de siècle, la Fiesta rassemblera un très large public autour d’une programmation qui abolit tous les clivages, qu’ils soient générationnels ou sociaux.
Fonky by nature Quelques semaines seulement après sa prestation à l’Espace Julien avec la Fonky Family, reformée à l’occasion d’un concert de soutien à leur ami Pone, Djel revient faire son show, en solo cette fois, à la Fiesta des Suds, pour donner un avant-goût de
Cordes sensibles Loin du bruit du monde, Tarek Abdallah vit en totale symbiose avec son instrument, le oud. Rencontre avec le virtuose chez lui, à Marseille. Quand Tarek Abdallah vous accueille, c’est avec un sourire, beaucoup de cigarettes et un oud posé là, sur le canapé, le
La mémoire vive Spécialisé dans ce que l’on nomme trop vite les « musiques improvisées », le label Emouvances investit la Friche pour une nouvelle édition de son festival, centrée sur le thème de la mémoire. Alors que les fascistes font du lieu l’emblème d’une culture qu’ils abhorrent,
Définitivement la soirée club du fort recommandable festival RIAM auquel nous consacrions une page dans notre précédent numéro. En sous-titre : « La nouvelle scène techno/expérimentale européenne ». Entre turbines industrielles, tour à tour tribales ou cliniques, et ascensions en noir et blanc, voici les représentants de ces
« Un grand orchestre de jazz, cela s’appelle un big band » déclamait Denis Podalydès qui faisait office de récitant sur la première œuvre de l’Amazing Keystone Big Band, Pierre et le loup… et le jazz. Il s’agissait déjà de proposer une relecture en grand orchestre
Nous leur consacrions un portrait en avril dernier. Les Statonells, savant mélange de maloya et d’incartades noise ascensionnelles. Le maloya ? Musique émancipatrice du peuple réunionnais, marquant de ses puissantes rythmiques tout autant la fin des campagnes sucrières que la résistance à toute forme d’autorité. Amplifié
A vrai dire, nous ne connaissions pas le Lyonnais Nico Poisson, alias Sathönay. Mais l’on fait confiance à ses hôtes en matière de découvertes indépendantes à la lisière entre pop et musiques improvisées ou contemporaines. En atteste donc cette date : si l’intéressé a pour habitude
On a déjà pu les croiser dans les parages, invités pour B-Side ou le festival Yeah !, et il est toujours aussi peu évident d’écrire sur ces talentueux trublions de la pop anglaise. Derrière l’humour d’instrumentations et d’un univers faussement décalé (leur dernier clip montre un
Malgré l’annonce, il faudra attendre janvier 2016 pour jeter une oreille sur leur prochain album, Stachelight. Quoiqu’un single vient de sortir, Shoes, en guise de compensation. Et puis cette date, qui vient en sortie d’une tournée de plus de 150 dates à travers le globe.
On a notamment connu Blackalicious pour ses affiliations au collectif Quannum MCs au début des années 2000, aux côtés de Dj Shadow donc. Ce que l’on retient surtout du duo californien, c’est ce sens impressionnant de la rime propre à The Gift of Gab, et
Marseille Dubstation, ou comment inviter des pointures internationales de la bass music, à mi-chemin entre la performance live et le dj set, dans la plus pure tradition dub. Sur l’affiche de choix, en forme de gros sound system : Iration Steppas feat Danman, Legal Shot Sound
L’interview Nicolas Maisetti Après l’anthropologue Michel Peraldi, nous avons souhaité faire suite à ce que l’on pourrait appeler un « cycle sociologique autour de Marseille » en donnant la parole au docteur en science politique Nicolas Maisetti. Auteur du livre Opération culturelle et pouvoirs urbains. Instrumentalisation économique de la
Programmes jeunesse Pour fêter les premières vacances de l’année, les théâtres de la région ont concocté plusieurs temps forts à destination du jeune public — et comme la jeunesse, c’est dans la tête, il paraît que tout le monde peut en profiter. Tour d’horizon d’une programmation
L’Interview Patrick Ranchain Implanté dans le quartier dit « sensible » du Jas de Bouffan, le Bois de l’Aune (BLA) se trouve au cœur de la question de la mixité des publics dans le domaine culturel. Après avoir été l’une des vitrines de MP 2013, comment ce lieu qui
L’acte et la manière La quinzième édition du festival ActOral s’est clôturée samedi soir dans la musique et la joie. Retour sur trois semaines d’émoi artistique. Une édition adolescente et rebelle, émotive, intense, irrévérencieuse et grave, à la hauteur de ses quinze printemps. Le festival a pris
Les petits riens Les spectacles de Bonaventure Gacon sont toujours de passionnants voyages, dans lesquels il ne s’agit pas d’aller au cirque mais de le suivre dans un univers. Créé en 2001 à Avignon, Par le Boudu est l’essence de tous les personnages que Bonaventure Gacon porte
Over the rainbow Le temps d’un long week-end, le cinéma Les Variétés accueille le volet marseillais du festival LGBT porté par l’association Polychromes, Zefestival, qui s’étend désormais à toute la région PACA, de Nice à la cité phocéenne. En huit éditions, la manifestation cinématographique lesbienne, gay, bi
(Dé)Masqués Le vêtement et le masque servent a priori à cacher notre corps, voire notre identité. Le travail de l’artiste Inéha Costerousse inverse cette idée pour montrer en quoi ces deuxièmes peaux révèlent aussi une personnalité et peuvent faire oublier le sujet qui les porte. Illustration