Sweet Back – The lost and found republic (Yotanka/Discograph)

Dix ans après un premier album aujourd’hui quasiment introuvable, ce trio angevin revient enfin donner de ses nouvelles. Sa force réside dans son line-up, imparable : un saxophoniste, un batteur et un contrebassiste. De fait, Sweet Back ne joue ni vraiment du rock, ni vraiment du jazz, mais un hybride instrumental complètement dément et addictif. De quoi redorer le blason de deux groupes scandaleusement sous-estimés des années 90 (et en bonne place dans leurs influences) : Morphine et Red Snapper, dont les fantômes sont ici omniprésents.

PLX