Collection Masters of Horror (Universel)
MK2 (Le Golem , Les amants réguliers…)
Coffrets Johan Van der Keuken (Ideal Audience)
Les religions sauvages (Le Dernier Cri)
Rééditions Michael Powell (Warner)
Trust me / Simple men d’Hal Hartley (Diaphana)
Jean Painlevé – Compilation (Les Documents cinématographiques)
Kaamelott : Saison 3 (M6 Interactions)
Omar et Fred – Le best of SAV des émissions (Studios Canal) De mémoire de zygomatique cathodique, nous n’avions plus vu cela depuis le rachat de Canal par Universal. Au cœur d’une émission rase-motte faussement people, un duo manie l’absurde et la satire avec une maestria hilarante, offrant trois minutes quotidiennes purement jouissives. C’est drôle, c’est con, surexcité, acide et génial !.. Embrasse Pierre Bénichou ! (Mais pas Steevy !) |
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Les rééditions de John Waters (Metropolitan) Voilà bien la première fois que cette major nullissime nous offre de belles raisons de satisfaction. Les rééditions de l’œuvre séminale de John Waters furent l’occasion de retrouver toute la saveur d’une œuvre génialement outrancière, avec une évidente préférence pour Polyester et son concept de visionnage en odorama. En compagnie de Divine en reine du bal. |
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Collection Masters of Horror (Universel) Universal a créé là l’évènement horreur de l’année, via la chaîne Showtime Networks. Une série exceptionnelle de plus d’une douzaine de films d’une heure réunissant les grands noms du genre. Jugez plutôt : Dario Argento (brillant) côtoyant John Carpenter (savoureux), Takashii Miike (violent) évoluant aux côtés de John Landis (irrésistible). Sans parler de Tobe Hooper ou Joe Dante. Un bonheur ! |
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MK2 (Le Golem , Les amants réguliers…) Une fois n’est pas coutume, il s’agit ici de récompenser le travail impeccable réalisé cette année par Martin Karmitz. Une fois de plus, serait-on tenté de rajouter. Mais force est de reconnaître que face à la morosité qui a atteint cette année le milieu de l’édition, MK2 oppose une réponse expéditive, avec une politique de sortie de haut vol, extrêmement prolifique. Chapeau bas. |
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Coffrets Johan Van der Keuken (Ideal Audience) Ideal Audience, distributeur ciné émérite, promettait depuis quelques années l’édition des œuvres complètes (rien que ça !) du documentariste hollandais. Une masse de travail colossale, des dizaines d’heures de pur génie destinées à quatre coffrets DVD, dont deux ont vu cette année le jour, en collaboration avec Arte. Absolument indispensable. |
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Les religions sauvages (Le Dernier Cri) Cette structure marseillaise, fleuron du paysage culturel local, dont les mérites ont largement dépassé les frontières hexagonales, nous a gratifié d’un double DVD digipack, magnifiquement réalisé, pour la sortie de son film le plus abouti, Les religions sauvages. Œuvre écrite à plusieurs mains, prouesses d’animations psychotiques visuellement remarquables. |
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Rééditions Michael Powell (Warner) Il était temps. En sortant quatre DVD réalisés avec goût et soin (Les chaussons rouges, Le narcisse noir, Le colonel Blimp, le 49e parallèle), la Warner a permis de remettre Michael Powell sous les projecteurs, consacrant ainsi l’œuvre d’un des plus grands réalisateurs anglais. Cerise sur le gâteau, les films sont présentés par de grands noms du cinéma, tels Scorsese ou Tavernier. |
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Trust me / Simple men d’Hal Hartley (Diaphana) Nous aurons beau être déçus par ses dernières sorties, les premiers films de l’Américain, aux dernières nouvelles exilé à Berlin, résonnent encore à nos oreilles comme les plus jouissifs moments de cinéma des années 90. Diaphana prolonge notre bonheur en compilant les deux meilleurs opus d’Hal Hartley, économisant malheureusement sur les bonus. |
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Jean Painlevé – Compilation (Les Documents cinématographiques) Si la récente édition marseillaise du Festival Science et Cinéma a déclenché en vous l’envie d’approfondir les liens ancestraux qui se sont tissés entre l’image animée et la recherche scientifique, plongez-vous dans l’œuvre incontournable de Jean Painlevé, éminente figure du genre, ayant hissé le film scientifique au rang d’art à part entière. |
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Kaamelott : Saison 3 (M6 Interactions) Rien ne va plus à Kaamelott : comme s’il n’était déjà pas assez accaparé par sa quête (administrative) du Graal et accablé par sa bande de baltringues, Arthur doit désormais composer, dans la joie et la bonne humeur, avec le départ de Lancelot, ses sentiments envers la femme de Karadoc et la colère des Dieux. « Devedum Possedes Absolutis » (1) … (1) Ce qui ne veut absolument rien dire… |