DFA – The remixes – chapter one (DFA/Labels)
Osons cette théorie : par-delà la hype (qui s’estompe), les boules à facettes (passées depuis dans le domaine public) et le retour du rock appliqué à la scène club, DFA reste le plus passionnant des projets crossover. Et poursuit, avec quelques autres au premier rang desquels on citera N*E*R*D, le boulot… (lire la suite)
Osons cette théorie : par-delà la hype (qui s’estompe), les boules à facettes (passées depuis dans le domaine public) et le retour du rock appliqué à la scène club, DFA reste le plus passionnant des projets crossover. Et poursuit, avec quelques autres au premier rang desquels on citera N*E*R*D, le boulot entrepris il y a quinze ans par Massive Attack, Primal Scream et autres Beastie Boys. Car plus qu’un simple label, DFA est un pool de producteurs dingues de musique(s) : son amalgame de funk, rock, disco et acid-house ne ressemble à nul autre. Dès lors, on ne s’étonnera pas que Tim Goldsworthy (ex-Mo’Wax) et James Murphy (punk-rocker extasié) rendent la pareille à d’autres adeptes du crossover (Chemical Brothers, Blues Explosion, Gorillaz, Soulwax…) au fil de relectures aussi jouissives que longues en bouche. Vital.
PLX