Al Foster Quartet > les 18 et 19 au Cri du Port

Une dose d’amour pour la sensualité de son jeu, la paix pour des prouesses « techniques » absolument assumées et le jazz pour tout bagage… « Il a tout ce que je veux d’un batteur », dira Miles Davis lorsqu’il le rejoindra dans les 70’s. Autodidacte, avec les « jeunes pousses » qui l’accompagnent, il n’en est pas moins pourvoyeur de compositions d’une rare élégance. Cymbales en fusion, peaux en tension et jeu tout en souplesse sont les traits de génie d’un artiste trop souvent sous-estimé.

LD

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