Naissance d’une passion Pour sa trente-sixième édition, le Festival du Premier Film Francophone met l’accent sur la jeune création de ces deux dernières années, en présence d’une pléiade d’invité.e.s. L’Eden-Théâtre vient nous rappeler que ce qui fit sens, dans une historiographie cinématographique, est bel et bien l’existence
Cinéma de quartier L’association Tilt propose, pour la quinzième année consécutive, la restitution de ses ateliers de programmation Cour(t)s-y vite !, durant lesquels les élèves de trois établissements de la Belle de Mai ont construit collectivement une programmation de courts-métrages. Une large mutation s’est opérée dans les
Tout est mal qui finit bien Une jeune femme de vingt-deux ans apprend qu’elle est atteinte d’un cancer au stade 4, le plus avancé de la maladie. Maëllis Cam va s’accrocher aux mots des autres — ceux des proches et de quelques écrivains — pour tenir,
L’adieu, la fin, l’acmé : autant de concepts qui régissent l’histoire et annoncent sa destruction sont ici effacés de nos habitudes. Les adolescents qui composent le Groupe des 15, un projet pédagogique mis en place par la compagnie Vol Plané que l’on avait pu découvrir avec
L’Interview Dick Rivers On vous voit arriver : mais quelle mouche a donc piqué Ventilo ? À l’instar de Ze Bourgeoiz, qui reprend les rênes de la quatrième édition du South Vintage Festival, on s’est laissé prendre au jeu du saut arrière dans l’espace-temps. Robes à fleurs, santiags et
Libres comme l’air Gonflés à bloc, les Cancans reviennent pour une troisième fois bousculer Marseille. Rien ne leur fait peur, ni le comique de certaines situations, ni la voltige, et encore moins la prestation à l’air libre. Le festival ne manquera pas de vous donner le
La soumission Le Merlan et la Criée s’associent pour présenter J’ai peur quand la nuit sombre, une création in situ d’Edith Amsellem qui questionne l’identité de la femme dans son présent et son avenir, à travers le conte du Petit Chaperon rouge. Le Petit Chaperon rouge, c’est
Voyage à travers chants Pour le vingt et unième printemps des Joutes musicales de Correns, le journaliste et écrivain Frank Tenaille a concocté une programmation sensible et de qualité, dont huit premières mondiales. Tour d’horizon. Blotti au fond d’une plaine fertile, le petit village de Correns (900
Enfant de la balle Hijo de Tigre, le troisième album de la Cumbia Chicharra, se démarque d’albums de cumbia par son originalité. Entre tradition sud-américaine et sonorités afrobeat ou électroniques, ce nouveau bébé ne marche pas sur deux pieds et c’est ce qui fait tout son
Histoires d’Or En parallèle de l’exposition Or du Mucem, les artistes Gethan&myles développent une approche intemporelle et précieuse autour du métal inoxydable, à la rencontre d’un public peu averti, voire méprisé. L’histoire commence au Crédit Municipal Marseillais, à quelques pas des Réformés. Le duo d’artistes britanniques Gethan&myles
Béton Art Mai Avec l’exposition Rudus, Ruderis, la Double V Gallery nous révèle la perception tout à fait romantique d’Ugo Schiavi, sculpteur aimant les grands écarts dans le temps. L’ensemble des œuvres bétonnées qu’il nous présente se révèle aussi magistral que déroutant. Héros du quotidien, clins
L’Afrique, c’est chic ! Fidèle à sa volonté de partager avec le public toutes les richesses artistiques de la musique africaine, Mamadou Konté a créé Africa Fête en 1978. Du 27 mai au 23 juin, le festival célébrera ses quarante ans d’existence et nous propose pour l’occasion
À nos amours Pilotée par Éric Corne, l’exposition Quel Amour !? au [mac] pose la grande question de la signification et de la complexité de l’amour. Portée par de grands artistes, elle ne manque pas de représenter le sentiment dans toutes ses définitions, de la plus belle
Répétition générale Le cycle « Make / Remake » présenté par le FIDMarseille et le Mucem nous propose de penser l’acte créatif cinématographique à travers l’adaptation d’œuvres existantes, soulevant ainsi la question même des sens du récit. Devenu un genre cinématographique à part entière, le remake épousa l’histoire du
L’histoire sans fin Comment filmer l’histoire ? Comment représenter un réel, passé et reconstitué ? Quelle place doit alors adopter le cinéma ? Autant de questions qui seront au cœur du nouveau cycle du Videodrome 2, « Encore », qui explorera le sujet avec une poignée de films de nouveau très
Cannes, bis L’Alhambra accueille cette année encore, juste après le grand raout cannois, tous les films de la Quinzaine des Réalisateurs : une vingtaine de long métrages internationaux et deux programmes de courts à découvrir en avant-première ! Alors que sort ce nouveau numéro de votre journal favori, le
L’Interview Nadia Champesme (Des livres comme des idées) À l’occasion de la deuxième édition du festival littéraire marseillais Oh les beaux jours !, nous avons rencontré Nadia Champesme, directrice et organisatrice de l’événement porté par l’association Des livres comme des idées, toujours en quête de renouvellement et d’exigence. Après
Comme chaque année, le festival Kadans Caraïbe nous propose un moment convivial et festif autour des disciplines artistiques issues de l’espace caraïbéen. Pour cette sixième édition, la Guyane, la Martinique et la Guadeloupe sont à l’honneur, avec des artistes engagés comme Lyrical Falone, Ka Rumba,
Une nouvelle fois, Comparses et Sons nous propose un concert d’exception. Cette fois-ci, c’est au tour de Black Milk de venir enflammer le public marseillais. Âgé de trente-cinq ans, ce rappeur et beatmaker de génie a longtemps été considéré comme le nouvel espoir de Detroit
On connaissait The Legendary Tigerman en one man band qui, dans la grande tradition blues redneck, occupait tous les postes. C’était particulièrement impressionnant de le voir manier guitare, harmonica et percussion tout en chantant. Bref, les White Stripes divisé par deux. Pour son nouvel album,
Il y a quatre ans, Toolong Records se lançait dans une aventure vertigineuse, en proposant à ses poulains (El Botcho, Boreal Wood…) de se produire en acoustique dans l’une des cabines du téléphérique du Faron à Toulon. À l’approche d’une nouvelle ascension estivale, le jeune
Le festival Étang d’Arts est toujours là sur la Plage du Prado pour promouvoir la culture artistique sans oublier de mettre en avant le développement durable et l’économie solidaire. Pendant deux jours, le festival va offrir à ses visiteurs une parenthèse inattendue, centrée sur la
Le rendez-vous des musiques éclectiques revient à Pertuis et La Tour d’Aigues pour une nouvelle édition. Privilégiant les nouveaux talents, la programmation de cette année est une fois de plus à la hauteur des attentes et chacun saura y trouver son bonheur parmi tous les
Depuis le début de l’année, les soirées drum & bass s’enchainent dans la cité phocéenne… Cette fois-ci, c’est au tour du label marseillais Hyperactivity Music de nous proposer une nuit de clubbing à la programmation très pointue. En tête d’affiche, une belle brochette d’artistes internationaux :
Dans le cadre de la Nuit Européenne des Musées, les musées de la ville de Marseille, le musée Cantini et la ville de Marseille nous proposent un concert gratuit à ne pas rater sous aucun prétexte. Entre ballades intimistes, noirceur du blues et swing énergique,
Le festival varois Couleurs Urbaines nous propose une programmation fort intéressante en prélude de son édition 2018. Pour ouvrir les hostilités, le célèbre groupe de rap américain Cunninlynguists sera présent lors du concert d’ouverture. Fervents défenseurs de l’abstract hip-hop et du boom bap des années
Le Rooftop sur les Terrasses du Port a rouvert ses portes pour la saison 2018 et nous propose ses fameuses soirées aux parfums de techno et électro. C’est au tour d’Arnaud Rebotini (Black Strobe) de venir ambiancer ce lieu exceptionnel. Ce pionner de la scène
DJ emblématique des années 90, Cut Killer fait partie de ces artistes qui a permis au rap d’acquérir ses lettres de noblesse en France. Qui ne se rappelle pas de ses célèbres émissions radio ou encore de ses fameuses mixtapes qui mettaient en avant de
Les Dimanches de la Canebière nous ont habitués à inonder de musique l’artère la plus connue de la ville. Cette fois-ci, c’est au tour de Gaïa’Z Onda de nous faire danser sur des rythmes frénétiques de musique brésilienne. Composée d’une dizaine de musiciens percussionnistes, cette
« C’était tout juste après la guerre, dans un petit bal qu’avait souffert. Sur une piste de misère, y’en avait deux, à découvert. Parmi les gravats ils dansaient, dans ce petit bal qui s’appelait, qui s’appelait, qui s’appelait. » Loin derrière nous se trouve la guerre, nos