Big doll house – (USA – 1971) de Jack Hill (Bach Films)
Avant de devenir Coffy et l’égérie de la « blaxploitation », Pam Grier aimait traîner ses guêtres dans des films de « sexploitation ». D’un genre à l’autre, mis à part un métissage plus large, il n’y a pas vraiment.. (lire la suite)
Avant de devenir Coffy et l’égérie de la « blaxploitation », Pam Grier aimait traîner ses guêtres dans des films de « sexploitation ». D’un genre à l’autre, mis à part un métissage plus large, il n’y a pas vraiment de différence. Pam se bat toujours avec autant de conviction et se dénude toujours aussi facilement. Dans Big Doll House, version féminine de L’évadé d’Alcatraz, Pam et ses copines, outrées par l’attitude quasi fasciste de la directrice et de son bras droit (sadique à souhait, pur cliché), décident de se faire la belle. Mais sur un chemin semé d’embûches, la cavale va tourner au vinaigre… Estampillé 70’s, aguicheur et faussement subversif, sans réel scénario, ce « WIP » (pour Women In Prison) reste quand même un moment piquant et sévèrement progestéroné.
LV