Malgré un positionnement culturel souvent contesté, participant entre autres à
Aix-en-Provence accueille du 2 au 7 décembre la trente et
Extérieur Nuit s’installe au Miroir de la Vieille Charité et
Comme dans L’échine du Diable, c’est au cœur d’une Espagne exsangue et nouvellement franquiste que Guillermo Del Toro a choisi d’installer son récit mélancolique. Cette tranche historique particulièrement noire sera le cadre infecté des instants « magiques » de la jeune Ofélia. Icelle y rencontrera le mythologique… (lire la suite)
Si l’automne cinématographique (qui va bientôt finir par se transformer en hiver si personne ne fait attention) est avare de choc esthétique, il s’avère en revanche riche d’enseignements sur l’état du monde du cinéma. Nouveau cas d’école… (lire la suite)
Présenté au dernier festival de Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs, Libero y a bénéficié d’un très bon accueil des critiques et reçu le prix de la CICAE, association regroupant des exploitants de salles… (lire la suite)
Los Angeles, années 40, une starlette, Betty Short, est retrouvée atrocement mutilée, façon découpeur de Nip/Tuck. Cette découverte macabre met tout un pays en émoi et la police… (lire la suite)
Magnum ou l’art de faire compliqué quand on peut faire simple. Cette série, diffusée au début des années 80, explosait les codes du genre « policier » jusqu’à en devenir presque insaisissable. C’est ainsi que… (lire la suite)
Plus angoissant que La tour infernale, plus épique que Braveheart, voici La citadelle assiégée… (lire la suite)
Une fois n’est pas coutume, un peu d’histoire du cinéma appliquée aux plus effarantes supercheries du XXe siècle. C’était à la fin des années 80, dans la foulée de My Beautiful Laundrette : une frange… (lire la suite)
Parce que je suis profondément amoureux des femmes (même si elles ne me l’ont pas toujours rendu), parce qu’elles sont l’avenir de l’homme (pas d’Homo Erectus sans utérus) et parce que… (lire la suite)
L’an dernier, à la faveur d’un réjouissant bouche-à-oreille, l’exemplaire et passionnant documentaire d’Hubert Sauper, Le cauchemar de Darwin, était vu par… (lire la suite)
Comme la musique, l’industrie du cinéma a compris qu’on pouvait ressortir les œuvres de jeunesse d’auteurs devenus au fil des ans incontournables. Pendant longtemps… (lire la suite)
Dans la tendance « polar froid et contemporain » qui refait surface depuis quelques années avec une vigueur quelque peu versatile, il y a ceux… (lire la suite)
Pour la cinquième édition de son festival de cinéma espagnol, l’association Horizontes del Sur ressort les assiettes à tapas sous forme d’une pléiade de films. Et investit de nombreux lieux pour faire monter la sauce. Petit tour d’horizon… (lire la suite)
Durant une dizaine de jours, Gardanne ouvre ses portes au cinéma, visant tous azimuts curieux, cinéphiles et minots pour proposer avant l’hiver une vraie manifestation construite sur l’échange et le mélange des genres… (lire la suite)
Le film d’acteur est en passe de devenir un genre à lui seul, ce qui ne serait pas forcément embarrassant si leur valeur n’était pas inversement proportionnelle à la notoriété de leur créateur. Ainsi, pour quelques confidentielles… (lire la suite)
Garçon/Fille, Comédie/Tragédie, Père/Fils…Tout, dans le dernier film de Christophe Honoré, respire la rupture et l’opposition. Ce souci de la disjonction touche… (lire la suite)
C’est une certitude maintes fois avérée, mais finalement assez rassurante : Tony Gatlif n’est pas un cinéaste de l’apaisement, ni même de la demi-mesure. D’ailleurs,… (lire la suite)
Recette pour une série qui cartonne : prendre un bad boy ravageur, ajouter la sagesse d’un chasseur chauve, les débardeurs trempés d’une aventurière et une bonne pincée de… (lire la suite)
C’est la nouvelle série du moment, celle dont tout le monde parle, addictive et brillante, comme les Américains en produisent régulièrement, jusqu’au vertige, pour notre plus grand plaisir. Prison Break est une… (lire la suite)
On le sait, l’été est devenu une période privilégiée pour les sorties cinématographiques, lorsqu’il y a dix années encore, la saison n’était dans la profession synonyme que de désertification des salles. L’élévation des températures et, inversement proportionnelle, la chute tarifaire des clims offrent encore de beaux jours aux sorties estivales en salles réfrigérées… (lire la suite)
Incontestablement, la rentrée cinématographique s’engage dans une période de grande transition. Tant en macro qu’en micro-vision. Tant sur un plan international que local. De nombreuses questions se sont ouvertes cette année, qui demanderont à l’art cinématographique et audiovisuel de développer toute une capacité de renouvellement et d’adaptation.
A deux pas du Vieux-Port, P’Silo propose une immersion sans pareil dans l’univers de l’image vidéo, questionnant notre rapport à la représentation et nos liens avec l’émotion, fussent-ils violents. S’interroger sur l’image par le ressenti, telle est l’une des formes de l’expérimentation visuelle… (lire la suite)
Comme le souligne l’équipe du FID elle-même, « on n’est pas sérieux quand a dix-sept ans. » Adage par trop cliché mais cependant d’actualité pour une manifestation qui fête avec la même classe ses nombreuses années d’engagement auprès d’un genre cinématographique… (lire la suite)
Le milieu d’été n’est pas terre désolée pour les cinéphiles en manque. Fin juillet, Aflam offre au(x) public(s) marseillais une formidable rencontre avec le cinéma arabe, via sa huitième Biennale, organisée en collaboration avec l’Institut du Monde Arabe et Tilt… (lire la suite)
L’Institut de l’Image d’Aix-en-Provence surfe sur la vague de la fête de la musique en proposant un bref cycle illustrant divers aspects de la rencontre entre cinéma et musique. Une rencontre qui, loin d’être naturelle comme on peut l’envisager, a eu souvent du mal à générer de grandes œuvres.
Shohei Imamura est décédé le 30 mai dernier à son domicile de Tokyo. Cette semaine, le cinéma Variétés rend hommage au cinéaste japonais à travers quelques-uns de ces films les plus marquants. Voyage dans une œuvre aux confins de l’absurde et de l’impensable…. (lire la suite)
Il est des films qu’on a envie d’aimer avant même de les avoir vus. Ainsi de La rupture, réalisé par Peyton Reed — auteur du crétin et jouissif American Girls, comédie ultime sur les pom-pom girls — et porté par notre Friends devant l’éternel Jennifer Aniston et le nouvel idiot de service d’Hollywood, Vince Vaughn… (lire la suite)