Dans de bonnes dispositions L'Espace 361° aurait pu se noyer dans
D’un Panier à l’autre Le Brésilien Nhobi colore les façades de
A force de vouloir entrer en galerie, le street art
Avec sa série de photographies et de vidéos Stations, Laurent Dejente désarçonne nos habitudes visuelles et nous amène, de stations en stations, à reconsidérer notre sens de l’orientation…
De quoi sont les images faites ? : encore une analyse sur ce qui est décomposé et qui décompose quoi ? Sur qui manipule qui et qui manipule quoi ? Pas vraiment. L’expo proposée par Vidéochroniques met l’accent sur l’enjeu des interrogations plus que sur d’éventuelles réponses. Propositions…
Derrick vs ? ? Une BD d’un genre nouveau s’installe sur les murs de notre ville. Ventilo a mené l’enquête… (lire la suite)
Pendant trois jours à Montévidéo, la performance est le champ de bataille de pratiques artistiques qui interrogent la place politique du corps. I Like Politique And Politique Likes Me, organisé par Triangle, invite des artistes qui remplacent la frontalité des années 60 par des stratégies de dissémination du désordre…(lire la suite)
La photographe Manon Avram se souvient de ses grands-parents qui se souviennent, de Marseille. Que faire de ce récit ? Comment nous le montrer ? (lire la suite)
Tentaculaires au niveau géographique, les Rencontres des Arts Multimédia se proposent aussi de faire le pont entre les différentes disciplines qui constituent l’art contemporain… (lire la suite)
La chute des feuilles allant s’accélérant, l’homme à l’orée de l’hiver s’interroge gravement sur sa destinée. Par-delà les saisons, les avancées de la technologie et les accélérations de la société de l’information, toujours plus fulgurantes, ont en quelques années modifié radicalement son mode d’exister et son rapport… (lire la suite)
Cet automne, le festival Instants Vidéo nous offre des pépites d’art vidéo, de poésie et de liberté… (lire la suite)
Conçue comme un patchwork de photos, anciennes et récentes, Today was colder I felt the wind offre un panorama disparate du travail d’Arja Hyytiäinen, jeune photographe suédoise… (lire la suite)
Un nouveau musée à Marseille ? Pas vraiment. Un événement, plus sûrement ! Pendant un mois, Astérides invite le légendaire Monsieur Ferraille à la Friche : l’occasion unique de (re)découvrir le parcours hors norme de ce géant de papier… (lire la suite)
En ce début d’octobre, Arborescence tend ses ramifications vers la lumière et déjoue les jeux vidéos… (lire la suite)
Alors que les galeries associatives des années 90 cherchent une nouvelle dynamique, la rentrée reste plongée dans une certaine morosité, essoufflée par la politique saisonnière des « grands événements ». Il y a, néanmoins, une vie après Cézanne. Il suffit de réinventer un regard face à la capacité permanente de l’art à redessiner le monde.
Dans un contexte dominé par le tourisme culturel des « grands événements », on remet au centre l’engagement des artistes à créer des possibles qui déplacent notre perception sur le monde… (lire la suite)
Parcours et choix artistiques de Thierry Ollat, nouveau directeur du Musée d’Art Contemporain, qui restructure l’identité du lieu autour de l’ouverture en permanence de la collection. Plus que l’expérimentation, il serait question de consolider le rôle du musée auprès des publics… (lire la suite)
Sculptocracie témoigne d’une vitalité retrouvée de la sculpture dans les écoles d’art, en écho aux enjeux posés actuellement par une génération d’artistes qui rendent l’abstraction perméable à l’impureté du monde.
Philippe Parreno est un artiste pop dans l’utilisation de sa personne, tantôt poseur avec des gants de boxe sur un flyer, tantôt serial killer ou héros d’une autofiction. Il est indéniablement l’un des artistes français qui a marqué les années 80. En 93 à la galerie Air de Paris en association avec Jousse Seguin… (lire la suite)
Du renversement des usages de la photo et sa reproduction « anonyme » par Jean-Luc Moulène à la Compagnie, aux enseignes lumineuses devenues une sculpture minimale de Bruno Peinado chez Buy-Sellf : deux univers artistiques opposés interrogent le statut des images… (lire la suite)
Au FRAC, une programmation vidéo en trois volets nous fait voyager dans les nouvelles formes de la performance… (lire la suite)
Stéphane Bérard transforme la mécanique de l’humour noir dans une mise en scène où le « respect » du contrat est dépassé par le réalisme des détails. Un kamikaze non revendiqué, ni tragique, ni comique, exposé à la galerie RLBQ… (lire la suite)
A deux pas l’une de l’autre, la galerie de la Friche et le lieu d’exposition pour l’art actuel Où présentent trois jeunes artistes — Anthony Duchêne, Pierre Labat et Yannick Papailhau — engagés… dans le plaisir de créer
Jean-Pierre Cometti, qui développe l’une des positions les plus radicales dans le champ de l’actuelle philosophie de l’art, se propose d’analyser les « usages » que l’on fait de ce mot, plutôt que de chercher à définir des frontières pour les pratiques artistiques… (lire la suite)
Dans les vidéos de Peter Bogers, qui scrute les codes de comportement dans l’espace public à travers une caméra intimiste, le voyeur et l’objet du regard échangent leurs positions. Invité à la galerie District par Vidéochroniques, il développe une réflexion autour du regard sur l’autre dans un contexte supposé de « guerre des civilisations »… (lire la suite)
Photographe marseillais au geste subtil, vagabond sans illusions, voleur de temps en sursis, Pascal Grimaud expose à l’Atelier de Visu… (lire la suite)
Dans Bag and Bagage, à la galerie de l’école des Beaux-Arts, on a repéré Alain Domagala, qui joue des espaces entre les mots et les choses et des échelles de construction (des utopies), tandis qu’au Bureau de Compétences et Désirs, le Cabanon Vertical s’approprie l’espace public avec une réflexion critique sur les chantiers qui sont en train de modifier la sociologie de la ville… (lire la suite)
Lili Reynaud-Dewar fait un hold-up dans le magasin des formes de l’art moderne, sur un fond sonore de pop synthétique. Et expose, à la galerie RLBQ, des sculptures qui pervertissent l’abstraction avec un goût déviant de la magie noire et de la décoration d’intérieur
Du son à l’image : Rainier Lericolais construit un univers fait d’harmonies visuelles qui résultent du hasard et de l’accident. Présentation à la galerie SMP d’un travail appellé à disparaître… (lire la suite)