La danse extra-Pôle 164, boulevard Plombières : le studio dédié à
Réussite sur toutes les lignes C’est dans un drôle de climat,
Le geste au corps Le festival Dansem a clôturé sa dix-septième
De ses récents déplacements sur le continent asiatique — et notamment au Japon — Franck Dimech n’est évidemment pas revenu les mains vides. Rentré en bonne compagnie, il pose ses valises ces jours-ci à La Friche où il déballe Adagios, fragments pour deux femmes, premier des trois présents rapportés du lointain Est.
Entre poésie et provoc’, l’étrange bestiaire de Shellachrymellaecum a fait un tabac à l’Embobineuse. Succès oblige, The Buchinger’s Boot Marionnette rempile pour deux soirs : courez-y !
Laisser la parole à qui de droit, c’était dans la logique des choses. A l’occasion du premier festival Jazz sur la ville, le directeur du Cri du Port inaugure cette tribune en nous parlant… de jazz : état des lieux… (lire la suite)
La vie est une tragédie, voilà plus de trois mille ans que les Grecs s’évertuent à nous le dire ! S’ils veulent bien l’admettre, les Cartoun Sardines ne se privent pas d’en rire… (lire la suite)
A Montévidéo, le festival ActOral cherche à élargir le territoire du « texte » au théâtre, en invitant chorégraphes, écrivains, artistes et musiciens à réinventer une langue pour le plateau.
Manu Larcenet marche au paradoxe et ça lui réussit. Un peu moins à sa production. Le héraut de la nouvelle génération BD — et poule aux œufs d’or de Dargaud — reste néanmoins un auteur remarquable. En attendant sa venue samedi à la Fnac, retour sur un parcours ascensionnel. Et sensationnel ? (lire la suite)
La première édition du festival Marseille Cosmopolite met en lumière une certaine conception du métissage, susceptible de nous réconcilier avec ce vilain terme… (lire la suite)
C’est connu, à Marseille, il y a plus de théâtres que partout en France. Alors pour éviter un pénible catalogue des spectacles à ne pas rater, voici une sélection foncièrement injuste, car délibérément orientée… (lire la suite)
La danse contemporaine s’offre sur trois plateaux cette saison : le Pavillon Noir ouvre grand ses portes à Aix, le Ballet National de Marseille densifie ses activités et le festival DanseM s’ancre tranquillement mais profondément dans la région… (lire la suite)
‘Perfect Gems » ou quand le Festival de Marseille s’attaque au classique… Pures, transparentes, poétiques ou géométriques, ces trois pièces précieuses déconstruisent et subliment la danse classique sous l’égide du toujours génial… (lire la suite)
Emmanuel Gat convoque Mozart et affronte le virtuose par une danse technique qui rebondit sur les standards du néo classsique et du modern jazz… (lire la suite)
Ballet circulaire à la féerie rayonnante, numéro lumineux à la fantaisie bouillonnante, chorégraphie prodigieuse et ensoleillée, Après la pluie… s’empare de l’ordinaire pour en faire une poudre magique qui envoûtera les petits démons comme les grands manitous… (lire la suite)
Dans le cadre du festival de Marseille, Michel Kelemenis programme dans son studio « Question de danse, question d’artistes ». Chaque soirée présente le travail en cours de deux compagnies dans un jeu du dialogue et des extrêmes… (lire la suite)
Sous l’impulsion d’Heiner Goebbels, l’acteur André Wilms et le talentueux Quatuor Mondrian expérimentent avec Eraritjaritjaka une forme de théâtre où tous les arts se mêlent… (lire la suite)
Durant deux soirées, le Gymnase s’est empli d’un parfum de dérision avec A-Ronne II. Ou la rencontre du XVIIe siècle italien avec la langue de Goethe, de l’absurde et du burlesque dans une étourdissante modernité esthétique… (lire la suite)
Sur une proposition du Conseil Régional, l’Alhambra crée l’événement en accueillant douze films issus de la cuvée 2006 de la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes. Une occasion peut-être unique de belles découvertes, au sein d’un vivier qui vit naître les plus grands cinéastes contemporains. Point d’orgue d’une année particulièrement riche, cette reprise demeure quelque peu à l’image de la salle marseillaise, hors normes par sa diversité et sa richesse.
Toutes les routes mènent à Lagos : tel est le constat que l’on se prend à formuler, les oreilles emplies de sonorités « vraies », à l’écoute de ces trois sorties simultanées sur Honest Jon’s – le label de Damon Albarn (Blur)… (lire la suite)
Le festival Nuits Métis fête cette année ses treize ans d’existence. Lieu de rencontre entre artistes africains et européens, il nous propose beaucoup plus qu’une simple succession de concerts… (lire la suite)
Après l’épopée flamboyante et baroque du Cabaret Nono, le Styx Théâtre remet le couvert avec un Entremets Entremots à la fois lyrique et gastronomique, alternant jeux de mots et jeux de bouche, rouge muscadin et blanc tiré à quatre épingles, enthousiasme suprême à la sauce douce-amère et sagacité maison rehaussée de fantaisie… (lire la suite)
Si la cuisine est un art, elle revêt parfois les habits du spectacle. La preuve en musique avec le Cake à la banane Groove, première expérience de « musicuisine » concoctée par des Marseillais gourmands et mélomanes… (lire la suite)
Ces jours-ci, le centredesignmarseille se met à table, faisant le pari de demander à trente-trois designers et plasticiens de transformer une table quelconque en une création singulière. Une idée judicieuse, qui permet surtout d’appréhender la diversité des approches par rapport à un même objet… (lire la suite)
A la terre ferme, ils préfèrent le ciel, le vide, l’envol — et même la chute : les Arts Sauts présentent leur dernier ballet d’hommes-oiseaux, tout en prodiges et poésie… (lire la suite)
Le Théâtre du Merlan clôt sa saison de vagabondage avec la présentation de Ville invisible d’Hervé Lelardoux. Metteur en scène, scénographe, plasticien de la lumière, Hervé nous prend par la main et nous emmène dans une déambulation à travers un quartier de Marseille… (lire la suite)
Dans le cadre de ses Informelles, le Théâtre des Bernardines s’est de nouveau associé avec Romeo Castellucci pour Crescita XI Urbino, une nouvelle création expérimentale d’une vingtaine de minutes visant à prolonger un questionnement sur la tragédie à l’époque contemporaine… (lire la suite)
La nouvelle exposition du Musée de la Mode tente de cerner les règles du Dress Code, transition vestimentaire peu définie qui sépare la tenue de journée des toilettes du soir. Une invention américaine qui prend racine dans les années de prohibition, folle époque où les cocktail parties allaient bon train… (lire la suite)
Il a joué du saxo avec Charlie Parker, s’est retrouvé en prison avec Cootze, le prix Nobel de littérature. Les thèses de doctorat se multiplient sur son œuvre. Ses textes sont montés au Festival d’Avignon. Depuis trois ans, la France redécouvre l’un des écrivains les plus inventifs des trente dernières années : aujourd’hui publié par une petite maison d’édition marseillaise, Le Mot et le Reste, Raymond Federman fait escale samedi à l’Alcazar… (lire la suite)