DIRTY PRETTY THINGS / BABYSHAMBLES
La presse spécialisée avait donc tout faux en misant un peu vite sur Pete Doherty. Car là où ses Babyshambles nous font subir 64 minutes insipides pour quatre bons morceaux, son ex-futur-meilleur pote libertin… (lire la suite)
DIRTY PRETTY THINGS – Waterloo to anywhere (Vertigo/Mercury)
BABYSHAMBLES – Down in Albion (Rough Trade/PIAS)
La presse spécialisée avait donc tout faux en misant un peu vite sur Pete Doherty. Car là où ses Babyshambles nous font subir 64 minutes insipides pour quatre bons morceaux, son ex-futur-meilleur pote libertin, Carl Barat, se montre beaucoup plus régulier dans l’effort. Mis à part un reggae blanc raté, les dix autres morceaux sont terriblement efficaces : le refrain qu’on retient, l’accroche mélodique là où il faut, avec assez de bollocks et de romantisme à deux balles pour enrober le tout. Rappelons qu’un grand mérite de ce prétendu « retour du rock » a été de remettre à l’honneur la composition, quand la vague précédente n’apportait que des sons. Une autre de ses vertus est qu’il n’est plus ringard d’écouter du rock à seize ans… Bon, après, faudra penser à faire le tri, ok les kids ?
SL