« Les camions-poubelles se courent après, les équipes ont été doublées, certaines plages sont nettoyées deux fois par jour ! »
Un fonctionnaire ébahi, entre les deux tours (Le Canard enchaîné, 19/03)
« J’ai pris conscience que pour gagner une ville comme Marseille, on doit être en campagne pendant six ans. »
Jean-Noël Guérini (Le Canard enchaîné, 19/03)
« C’est une ville qui vient de la nuit des temps. Un grand territoire sans banlieue, avec une identité qui serait déjà là, avec ses calanques, la nature dans la ville. Il y a ici une spontanéité. Je ne crois pas que ce soit une ville de la préméditation. Il n’y a pas de stratégie urbaine volontariste. »
L’architecte Jean Nouvel (Marseille L’Hebdo, 20/03)
« Il y a un mois, j’ai dit à Fillon : je vais vous garder Marseille. Il n’a rien dit, mais je suis sûr qu’il a pensé que je faisais le mac. »
Renaud Muselier (Le Point, 20/03)
« On m’a toujours sous-estimé. C’est ma force. Parce que j’ai gardé un visage de gamin et que je souris facilement, tout le monde me prend pour un jeunot qui a la vie devant lui. Pourtant, j’ai dix ans d’études de médecine, je suis ceinture noire de karaté et je dirige une clinique où travaillent 200 personnes. »
Renaud Muselier, ceinture noire de cas raté (Le Point, 20/03)
« Pour le moment, la chance nous manque aussi un petit peu. »
Eric Gerets, chat noir à l’insu de son plein gré, (Sports.fr, 23/03)