<p>Transformer Di Roboter + Anat Ben David > le 17 à l’Embobineuse<br /> Gomm + Zone Libre > le 18 au Poste à Galène<br /> Nelson + One Two > le 18 au Cabaret Aléatoire<br /> Killah Priest > le 19 à L’Affranchi<br /> General Levy > le 19 au Cabaret Aléatoire</p>
<p>On sentait, malgré quelques dérives inévitables (comme <em>Kookabura Universe</em>) et quelques réussites (surtout <em>Les Insurgés d’Edaleth</em>), que la paire de scénaristes qui a concocté ce <em>Septième ange</em> avait...</p>
<p>Une fois n’est pas coutume, <em>Ventilo</em> ne s’intéresse pas à une série, mais à un courant (pas forcément alternatif) : les séries scientifiques... (lire la suite)</p>
L’histoire de Ronald, le clown de Mac Donald <br /> Il y a quelque chose de très satisfaisant dans le monde moderne <br /> Elf, la pompe Afrique <br /> La Veillée des Abysses <br /> Entremets Entremots <br /> Eraritjaritjaka, Musée des phrases <br /> Adagios, fragments pour deux femmes <br /> Cairn <br /> Face au mur <br /> Lulu Poppop
<p>Le week-end dernier, les 13es Rencontres d’Averroès donnaient l’occasion de réfléchir sur la Liberté en Méditerranée. Inégale dans sa diffusion, indispensable mais difficile à obtenir, cette notion fait débat parmi les intellectuels des deux rives... (lire la suite)</p>
<p>les Rencontres d’Averroès<br /> l’économie sociale et solidaire<br /> l’Equitable Café<br /> L’indignomètre<br /> Journée Internationale des Droits de l’enfant<br /> Rencontres à l’échelle<br /> Poésie dans la chambre <br /> Denis Brun<br /> les Z’Amba </p>
<p>Deux créatures, en noir et blanc. Le noir, elles le portent à ravir, cela se sait, cela s’entend. Mais rien n’est tout à fait noir : c’est, dit-on, de l’ombre que jaillit la lumière. Et dans le cas présent, de l’underground qu’à jaillit... (lire la suite)</p>
<p>Non, Watkins ne s’est pas penché ici sur l’histoire du reggae et de l’un de ses groupes phares. Il s’agit plus sérieusement de son deuxième long-métrage, réalisé pendant sa période suédoise, qui précède de peu son mythique ''Punishment Park'... (lire la suite)</p>
<p>En point d’orgue d’un travail ayant débuté avec <em>Weimar En Exil</em> (parallèle cinématographique Sirk/Fassbinder), le directeur du Miroir Philippe Bérard offre aujourd’hui la fantastique possibilité de (re)découvrir un pan immense... (lire la suite)</p>
<p>Un an après le gargantuesque festival qui fit connaître l’Embobineuse à la face du monde, faisons un petit arrêt sur image, histoire d’être paré pour la seconde édition... (lire la suite)</p>
<p>A force de la ramener à longueur d’éditos râleurs et enflammés, on en avait presque oublié qu’il existe encore, malgré tout, des raisons d’être contents de vivre au XXIe siècle. La semaine dernière par exemple, notre petit laïus se transformait en pamphlet contre la nouvelle loi sur le téléchargement, mettant de côté l’objet même de la controverse... (lire la suite)</p>
<p>Le film décortique parfaitement la montée et la chute d’Enron, gros scandale financier où la morale fut loin d’être sauve, puisque les poches de financiers véreux se remplirent au détriment de celles de milliers de personnes... (lire la suite)</p>
<p>On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans, mais on rêve de changer le monde à sa manière... Quatre jeunes romains qui se connaissent depuis l'adolescence vont devenir les parrains survoltés des années de plomb italiennes. Le script a beau être issu d'un livre lui-même inspiré par des faits réels, l’ensemble n'en reste pas moins convenu : apogée, mégalomanies, trahisons à la pelle, meurtres... Avec l’impression dominante d’un film long et bancal... (lire la suite)</p>
<p>Dans <em>Bag and Bagage</em>, à la galerie de l’école des Beaux-Arts, on a repéré Alain Domagala, qui joue des espaces entre les mots et les choses et des échelles de construction (des utopies), tandis qu’au Bureau de Compétences et Désirs, le Cabanon Vertical s’approprie l’espace public avec une réflexion critique sur les chantiers qui sont en train de modifier la sociologie de la ville... (lire la suite)</p>
<p>Tout commence et finit, rien n'a de valeur dans le temps, et la chair encore moins... Les Larmes amères de Petra Von Kant, allégorie d'un memento mori sombre et parfois très silencieux, nous rappelle sans fausse note que l'humain oublie vite sa condition au profit de rapports cruels qui justifient selon lui sa présence... (lire la suite)</p>
<p>Dominique Bouzon > le 2 au Cri du Port<br /> Neïmo + Stuck In The Sound + Brooklyn > le 2 au Cabaret Aléatoire<br /> The Dead Brothers > le 2 à l’Embobineuse<br /> La Caution > le 3 au Poste à Galène<br /> Nervous Cabaret > le 4 au Cabaret Aléatoire</p>
<p>Le FRAC propose Partenaire Particulier, une exposition-laboratoire où des « œuvres à spectateur unique » invitent à une expérience en solitaire, à rebours de la tendance progressive à la spectacularisation et au tout événement dans l’art... (lire la suite)</p>