Temps fort : Maroc – Des paroles dans la cité au MucEM
En écho au cycle d’exposition Des artistes dans la cité, le MuCEM s’offre un temps fort pour soulever les problématiques du Maroc contemporain par le biais de l’art et la littérature.
En écho au cycle d’exposition Des artistes dans la cité, le MuCEM s’offre un temps fort pour soulever les problématiques du Maroc contemporain par le biais de l’art et la littérature.
La Fondation Vasarely accueille une exposition collective, à l’initiative de Fanny Serain et Djeff, questionnant la notion de Laps, cet intervalle de temps qui ne peut se conjuguer au présent.
« Être stupéfait, c’est être figé. La surprise, quant à elle, conduit à la réflexion. Lorsque l’on est surpris, l’imaginaire s’ouvre, et le questionnement se met en marche. » Ainsi Christian Sebille, le directeur du GMEM, nous aiguillait-il il y a deux ans sur ce qui fait l’essence même du festival Les Musiques. Depuis ces mots, rien n’a changé, mais tout semble avoir pris une autre dimension. Du Merlan à la Friche en passant par Musicatreize ou le parc Borély, de chorégraphies en orchestres, contes musicaux et design culinaire, cette nouvelle édition s’annonce
Inutile de le présenter : il a contribué à donner ses lettres de noblesse à l’indie pop marseillaise. Revoilà le « Kid », avec un nouvel album en forme d’histoire d’amour.
Au dernier étage de la Tour-Panorama, le chorégraphe plasticien Christian Rizzo et la créatrice lumière Caty Olive présentent l’installation Ou pas, à partir de 3 500 costumes que le Ballet National de Marseille a mis à leur disposition.
Ecrire le réel. Documenter la vie par le spectacle. Ouvrir des scènes, des salles, des espaces comme autant de tribunes pour l’expression d’une voix : celle des vivants. Leurs quotidiens, leurs cheminements, leurs idées, leurs doutes, leurs cultures… Telle est l’essence de la Biennale des écritures du réel proposée par la maison de théâtre La Cité, qui réunit pour sa deuxième édition une soixantaine d’événements — théâtre, cinéma, littérature, musique, expositions… — dans une trentaine de lieux à Marseille et en PACA. Tour d’horizon en cinq mots-clés.
C’est déjà le printemps pour le Ballet National de Marseille ! Mathilde Monfreux a ouvert le bal du festival avec sa dernière création, Last Lost Lust : un voyage à la verticale entre retour à l’origine et esthétique contemporaine dans le tourbillon de la matière.
Ce n’est pas la première fois que nous interviewons le directeur du GMEM et, fort probablement, pas la dernière. A l’occasion de la troisième édition du festival multidisciplinaire Reevox, peut-être la plus aboutie, nous avons donc à nouveau souhaité lui donner la parole. Par simple plaisir.
Depuis 2006, le collectif Komm’n’Act prend le pouls de la jeune création internationale et des nouvelles formes d’écriture scénique via les Rencontres parallèles. Après avoir soigneusement évité la cacophonie « Capitale », le désormais Festival Parallèle articule sa programmation autour de soirées composées mêlant découvertes et artistes plus confirmés. Tour d’horizon.
Fidèle à son fil rouge constant visant à populariser la culture en décloisonnant les frontières, le Théâtre de la Mer présente Foot et moi la paix. Conçue avec trois équipes artistiques actives en France, au Maroc et aux Pays-Bas, cette pièce pluridisciplinaire ambitionne de réunir deux mondes a priori aux antipodes : la culture et le football. Explications avec la directrice artistique du Théâtre de la Mer.
Chaque automne, la cité phocéenne est saisie d’une fièvre jazz qui pousse la plupart des tenants des notes bleues à fédérer les énergies. Coup d’œil.
Les Emouvantes 2 Many dj’s + Derrick May + Bakermat (After Fiesta) Oddateee + Clipping (Trick Or Treat Festival) Femi Kuti Psychédélices Dupain + QWX (Festival Langues et Cultures Minorisées) Duane Pitre + Agathe Max Poborsk (RIAM) Midnight in Marseille : Etienne de Crecy + Jack de Marseille + Stereoheroes + Distropunx Juveniles + The Nurses Egyptology + Vie de Chien Rouge (RIAM) Jeff Mills, Chronicles of Possible Worlds Diapositive (RIAM) Phœnix + Suuns
Après avoir rallumé le J1 le temps d’une soirée printanière à guichets fermés, l’équipe du OFF se retape l’incruste dans l’immense hangar de la Joliette avec moult propositions artistiques et festives.
Nous avions eu peur, l’an dernier, que la neuvième édition des RIAM sonne le glas du rendez-vous défricheur d’arts nouveaux. Mais nous voilà rassurés : le festival rempile et nous livre sans chichis sa « version parallèle, underground et excitante de la ville ». Une belle manière de souffler ses dix bougies.
Le Pays d’Aix disposait déjà d’un sacré vivier en matière de culture numérique. En 2013, ses principaux acteurs ont la bonne idée de s’associer pour un parcours de concerts, d’expositions, de projections chorégraphiées, de rencontres, de mappings, de workshops, de spectacles et de performances sur les nouveaux usages de l’électricité. E-topie, c’est le nom d’un grand projet fédérateur regroupant en son sein des rendez-vous immanquables comme, entre autres, le tout nouveau festival Chroniques des mondes possibles. On coupe donc la poire en deux, et l’on se met en quatre pour tout voir.
Qui sait tout n’a finalement plus de besoin de se déplacer. C’est pourquoi nous continuons au fil du temps de partir à la (re)découverte du festival ActOral. Parce que chaque année, des noms nouveaux, des artistes inconnus de ce côté-ci de la France attirent notre curiosité. Mais ne nous y trompons pas, en 2013, ActOral voit aussi les choses en grand.
Pour la cinquième année consécutive, Karwan, « bâtisseurs de projets culturels » en PACA, nous invite à visiter son Salon (Public) pendant trois jours de fête menés tambour battant.
Au cinquième étage de la Cité Radieuse, porte 516, plongez dans l’univers d’Absalon ! Le travail de cet artiste israélien, qui a pensé des volumes d’occupation selon la contrainte, se magnifie dans la configuration de la Cellule, dans laquelle les visiteurs pourront « prendre position ».
Grand gourou visionnaire, dénicheur d’ordinosaures, archéologue du futur… L’ineffable Archeopterix vous propose de comprendre comment tout a commencé grâce à Origine, point d’orgue de la troisième édition de son festival dédié au retrogaming et aux arts associés : le Retrogaming Show.
Comment passe-t-on « du chantier à la scène » : telle est la question à laquelle tente de répondre le Théâtre des Bernardines depuis quinze ans via les Informelles, manifestation qui ouvre le processus de création à tout un chacun.
Après trois éditions attachées au répertoire de compagnies, l’édition spéciale 2013 de la Folle Histoire des Arts de la Rue arpente un territoire de six villes dont Marseille où des compagnies locales se partagent la scène avec des artistes d’Europe et de Méditerranée. De ville en ville, la Folle Histoire dresse ainsi son panorama de l’actualité des arts de la rue à travers une cinquantaine de représentations.
Là-haut sur la colline des Aygalades s’est posée la Cité des Arts de la Rue, territoire d’expérimentation de la discipline éponyme regroupant sept structures. Parmi elles figure le FAI-AR, un centre de formation atypique dédié à la création en espace public. Nous sommes allés à la rencontre de la quatrième promotion, célébrant à sa manière la fin d’un cursus bien rempli.
Ivan Smagghe > le 8 à Seconde Nature (Aix-en-Pce) Dupain > le 9 à la Gare de Coustellet Lil Wayne > le 10 au Dôme Kid Koala > le 10 au Cabaret Aléatoire Le Réveil des Tropiques + Johnny Hawaii > le 12 aux Demoiselles du Cinq Rocé (Festival Avec le Temps)> le 16 au Nomad’ Café Abd Al Malik - L’Art et la révolte > du 12 au 16 au GTP (Aix-en-Pce) et le 19 au Théâtre Liberté (Toulon) 1995 > le 16 au Moulin
A quelques jours de la création d’Ali Baba, rencontre avec la metteuse en scène et directrice de la Criée, d’un calme olympien malgré l’effervescence environnante.
Loin des festivités de MP 2013, l’équipe des Elancées propose une quinzième édition des plus audacieuses. Coup d’œil.
A la veille du week-end d’ouverture de MP 2013, l’équipe du OFF lançait officieusement les festivités avec son Banquet de Platon. Nous sommes venus, nous avons bu, en voici un rendu.
En route pour la deuxième édition du festival multidisciplinaire Reevox initié par le GMEM, intelligent croisement des esthétiques d’hier et d’aujourd’hui. Si chacun des artistes invités mériterait une pleine page, une figure tutélaire et incontournable se dessine entre toutes : Christian Zanési, talentueux compositeur et directeur adjoint de l’historique Groupe de recherches musicales (GRM), affilié à l’INA et fondé en 58 par Pierre Shaeffer… Pourtant, lorsque notre homme apparaît derrière son laptop, il n’est question que de futur. Contact.
Avec Ce que j’appelle oubli, basé sur le roman éponyme de Laurent Mauvignier, le chorégraphe s’attaque à la violence ordinaire. Explications.
La très belle rétrospective consacrée à Edouard Levé au [mac] dans le cadre d’Actoral offre une occasion rare de (re)découvrir le travail d’un artiste qui excellait à la fois dans la photographie, la performance, et la littérature.
A chaque décembre son Nuit d’Hiver. Cette année, ça tombe plutôt bien, car si le festival marseillais monté par la structure que dirige le guitariste Jean-Marc Montera, le GRIM, souffle ses dix bougies, on fête aussi le centenaire de John Cage. L’un dans l’autre : une programmation aux idées larges, principalement axée sur l’œuvre du célèbre compositeur.