Le mauvais temps avait débuté le 20 janvier. Trump prenait le pouvoir sous la pluie et s’abritait dans le bureau ovale pour lancer plusieurs Executive orders, décrets présidentiels sous forme de premières salves. Entrave à l’ObamaCare et au droit à l’avortement, érection d’un mur avec les Mexicains et relégation des musulmans hors des Etats-Unis. Son discours « alternatif » à la vérité met le feu à toutes les chancelleries du monde (sauf Jean-Marc Ayrault et François Hollande qui ne bougeraient pas une oreille même si Valls lançait un coup d’Etat en envahissant la Corrèze). Donald fait mal et allume plusieurs feux anti-démocratiques à la fois. Et il lui en reste sous la chaussure ! Il nommera le prochain Juge à la Cour suprême, ultime rempart à de folles lubies. Les contre-pouvoirs restent actifs aux USA et font partie de leur culture politique. Il est à rappeler combien les nôtres sont inexistants. La période électorale en cours pour désigner Président et Parlement pour les cinq prochaines