Fort du succès de ses Lascars, El Diablo signe une nouvelle création prenant part dans un environnement urbain et banlieusard. Cette BD cocasse soulève une problématique fort épineuse, les limites du possible en amitié, qu’elle met en scène dans une histoire qui ne ménage pas
Fernande poursuit ici son récit des années de jeunesse de Pablo Picasso. Paris, 1905. Lassée par le caractère entier de l’artiste et par sa forte propension à ne pas prendre en compte le réel dans lequel il vit, elle le quitte. Pablo va voir ailleurs
En 2009, Marvelous Entertainment proposait Little King’s Story sur Wii. Un jeu aux atours enfantins mêlant action, stratégie en temps réel et gestion, au gameplay aussi riche que simple à appréhender. Une réussite, sortie dans l’indifférence.
Il y a dix ans, Square Enix mélangeait ses univers à celui des personnages de Disney, dans un mix d’action et de jeu de rôle qu’il allait ensuite exploiter sur de multiples supports.
Dans le jeu vidéo, comme dans d’autres industries, certaines saisons sont propices au renouvellement de catalogue. Quand les impies ne verront en Fifa 13 qu’une simulation sportive de plus, les amateurs savoureront avec délectation l’aboutissement que représente cette sortie annuelle du roi
Nous voici à une époque charnière dans le duel qui oppose les deux grandes franchises de football actuelles. PES, après une course en tête lors de la génération précédente, n’a pas su aborder le virage des consoles modernes, mais fourbit ses armes en secret, un
Le festival RIAM et le journal Ventilo s’associent pour une soirée consacrée à la présentation de la revue musicale AUDIMAT par ses directeurs éditoriaux Guillaume Heuget et Etienne Menu, suivie d’une table ronde en présence d’acteurs culturels locaux sur la question de l’avenir du critique
Retour en images de l'édition du 27 au 29 septembre 2012 au Docks des Suds [portfolio_slideshow width=960]
Attraction, répulsion. Marseille a toujours produit des effets contraires sur ses habitants. La lumière crue braquée sur la cité par l’enchaînement de faits-divers tragiques et d’annonces politiques le met à nouveau en évidence. Grande métropole, capitale de la culture et du crime, notre cité se voit
Le diktat du chiffre, la loi du plus fort, les souffrances physiques et/ou psychologiques liées au travail… Autant de thèmes réunis par le metteur en scène dans A quoi on joue ? Tais-toi et bosse, pour exposer, en musique et avec une certaine ironie, ces
Revenant à leurs premières amours, le spectacle d’ombres et de musique, les Belges du Théâtre du Tilleul présentent Le Bureau des histoires, une pièce à tiroirs écrite par Carine Ermans, qui célèbre joliment les albums pour enfants. Assurément une belle mise en bouche pour démarrer
Le Ballet National de Marseille a commencé sa saison par une programmation qui donne de l’espace à la jeune création.
Avec Traces, les 7 Doigts de la Main font du plateau un terrain de jeu où toutes les acrobaties sont permises, sans filet pour retenir nos émotions. Et hop !
Le chroniqueur de jazz n’aura de cesse de se réjouir lorsque, enfin, arrive l’heure du fédérateur Jazz sur la Ville, véritable compilation des fondamentaux du jazz made in Marseille. Mais pas seulement.
Bal psychédélique > le 3 au Moulin Gallon Drunk + Cowboys From Outerspace > le 6 à l’Embobineuse Oshen + Andromakers > le 6 au Moulin Zombie Zombie > le 7 à l’Embobineuse IAM + Akhenaton & Faf Larage > le 12 au Moulin Stupeflip > Le 12 à L’Usine
Après des années de recherches et une méthode bien rodée, Laurent Petit et son Agence nationale de psychanalyse urbaine (ANPU) posent de nouveau leur divan à Marseille pour une dernière consultation avant d’exposer résultats et traitements appropriés dans une série de conférence et d’expos.
Affrétées par un équipage de onze libraires marseillais, les Littorales proposent cinq jours de lectures, de projections et de rencontres. Ventilo lève le voile sur la programmation.
Après la grisaille du week-end dernier, la septième édition des Portes Ouvertes Consolat promet de recolorer la ville avec un éclaboussant parcours artistique, ponctué de découvertes et d’expériences originales.
Quand l’art urbain s’incruste à nouveau dans l’Espace Julien, il ne plaisante pas. Alors que l’évènement fêtera ses dix ans l’an prochain, l’association En Mouvement n’en a pas pour autant négligé la programmation de cette neuvième édition. Nul besoin d’attendre 2013 pour déambuler à travers
Pour une première exposition en son nouvel écrin, la galerie Backside frappe fort en accueillant la prolifique installation de Gris1. En toute simplicité, l’artiste nous ouvre une porte sur son intimité et rend un hommage ludique à la culture du graffiti.
Tout en inventivité, Mystérioscope présente, sous forme d’installation, une sélection de films récents illustrant la tendance de nombreux créateurs à faire du bricolage un art et des effets spéciaux artisanaux un langage.
Lauréat de la cinquième édition du concourt Labo HO ((Le labo HO est un concours de création in situ qui propose aux artistes et architectes d’investir la librairie-galerie Histoire de l’œil pendant un mois chaque année. Le jury de la cinquième édition du labo HO
Située au cœur du Panier, la galerie 3113 accueille l’exposition Possession, une collaboration artistique entre l’Atelier Você et le photographe Robert Bilbil sur le principe du rite.
Depuis l’époque où la famille Ewing nous vantait son univers impitoyable, le mode de fabrication et de diffusion des séries a beaucoup évolué. La démocratisation d’Internet a permis l’apparition d’une nouvelle forme de fiction à épisodes : la web-série, à laquelle Marseille rend hommage depuis
Le Château de la Buzine propose dans un cadre exceptionnel son nouveau programme, s’associant en ce mois d’octobre à l’Institut Culturel Italien pour un cycle consacré à l’enfance dans le cinéma italien.
L’Institut de l’Image propose une rétrospective de John Cassavetes, avec la projection de cinq films essentiels : Shadows, Faces, Opening night, Une femme sous influence et Meurtre d’un bookmaker chinois.
ELECTRO/TECHNO. Penser le chapitre de la minimale clos, la source tarie par nombre d’avatars aussi saisonniers que versatiles, ce serait contourner le troisième volet du triptyque que le père du genre dédie à la fascinante Detroit. Partie intégrante de la légende et membre fondateur du
HIP-HOP. Bluffés par la présence de MF Doom sur la scène du Dock des Suds, on s’est de suite replongé dans l’histoire du bonhomme et tourné vers ses dernières sorties. Ça tombait plutôt bien : il a récemment sorti son premier album en duo avec
POP. Formé en 2008, le quatuor californien sort cette semaine un premier album éponyme qui devrait ravir tous les nostalgiques d’un certain âge d’or de la musique psychédélique américaine. Ils possèdent cette acidité pop, un brin garage, qui a fait la gloire des Seeds et
SYNTH WAVE. Sorti fin avril (ok, on est en retard), cet album est à garder sous le coude jusqu’à l’été prochain : cosmic disco gonflée aux hormones, gimmicks outrageusement FM, lune sur mer d’huile, les années 80 en toile de fond… Derrière les escarpins se