HIP-HOP. Bluffés par la présence de MF Doom sur la scène du Dock des Suds, on s’est de suite replongé dans l’histoire du bonhomme et tourné vers ses dernières sorties. Ça tombait plutôt bien : il a récemment sorti son premier album en duo avec
POP. Formé en 2008, le quatuor californien sort cette semaine un premier album éponyme qui devrait ravir tous les nostalgiques d’un certain âge d’or de la musique psychédélique américaine. Ils possèdent cette acidité pop, un brin garage, qui a fait la gloire des Seeds et
SYNTH WAVE. Sorti fin avril (ok, on est en retard), cet album est à garder sous le coude jusqu’à l’été prochain : cosmic disco gonflée aux hormones, gimmicks outrageusement FM, lune sur mer d’huile, les années 80 en toile de fond… Derrière les escarpins se
Grizzly Bear – Shields (Warp) Animal Collective – Centipede Hz (Domino) POP. Dans la famille « pop expérimentale new-yorkaise pour hipsters », je demande les deux mastodontes de la rentrée. D’un côté, Animal Collective, pionnier dans son genre et capable de bien des fulgurances. Passons hélas rapidement,
POP/ROCK. Véritable héros de l’enregistrement artisanal revenu de ses pratiques les plus radicales, la rock-star version 2.0 Ariel Pink (pas si mature que ça) n’en finit pas de squatter ces blogs qui suivent de près l’avant-garde pop-rock, mais pas seulement. Touchant une fois de plus
OVNI. Ceux-là, on ne les attendait plus : quatre Autrichiens apparus à la fin des années 90, au moment où la scène downtempo viennoise commençait à faire parler d’elle (cf. Kruder & Dorfmeister). Les auteurs d’un chef-d’œuvre inaugural (Transit), parmi les meilleurs du genre, puis
HIP-HOP. Si les Anglais ont toujours eu un rapport ambigu avec le hip-hop, c’est peut-être qu’à la différence des autres pays qui accueillaient émerveillés les dernières livraisons de New York ou L.A., ils ont toujours gardé un œil et une oreille sur ce qui se
ESSAI. « Actifs toxiques » inaugure ce dictionnaire et « Vulnérabilité » l’achève… Ce programme – prometteur – se décline en entrées comme « Bien commun » ou « Citoyenneté » et en articles critiques tels que « Economie : la crise de l’économie globalisée fera-t-elle émerger une nouvelle gouvernance ? », « Sport : entre mondialisation et nationalisme »,
REVUE. Détrompez-vous. Ce n’est pas parce que nous participons à la soirée de lancement (le 24/10 dans le cadre des RIAM) de cette revue musicale que nous nous sentons obligés de rédiger la présente chronique. Mais quelle erreur ce serait de faire fi d’un projet
BD. Simon, en vacances à Arcachon avec sa mère, ne supporte pas de voir sur la page Facebook de sa bien-aimée la mention « célibataire ». Il contacte Louise : cela serait dû à son père selon qui elle est trop jeune pour être amoureuse.
COMICS. Dans la jungle des comics, difficile de s’y retrouver pour le non initié, entre séries-fleuves et crossovers. Une redistribution des cartes en 2012 a permis à certains éditeurs d’hériter des droits d’aventures parallèles, telles que ce First Wave. Cette histoire courte met en scène
Alors que, face à la crise du DVD, le découragement gagne peu à peu les rangs des plus combatifs éditeurs hexagonaux, Potemkine, structure stakhanoviste et exigeante, continue de défricher avec maestria les trésors oubliés du cinéma international. Le premier opus de cette rentrée marque le
Si à l’origine, l’édition DVD n’est pas l’activité principale de Capricci, force est de constater que cette structure commence à étoffer un catalogue particulièrement exigeant, avec peu de sorties, mais toutes de très belle qualité, à l’instar de ce qui avait été réalisé sur les
Ce film est un hommage original à celui qui fut un véritable passeur en matière musicale, et qui a fait office de défricheur en matière de musique électroniques, électro-acoustiques, expérimentales, répétitives, voire techno : Daniel Caux. A travers ce documentaire, de nombreux musiciens, qui lui doivent
Nous l’avons souvent évoqué dans ces colonnes : le cinéma de Rabah Ameur-Zaïmeche développe une œuvre parmi les plus puissantes du cinéma hexagonal. En trois films, le réalisateur s’est construit une solide réputation d’artiste exigeant et intelligent, qualités qui transparaissent très largement dans chaque opus.
Depuis Super Mario Bros (1985), le plombier italien n’a cessé de sauter d’une plateforme à l’autre. Le préfixe « New » a accompagné son arrivée sur DS (2006), pour une expérience proche des premiers volets. Cette suite sur 3DS reprend la formule classique : Mario doit traverser des
En 2010, Vigil Games proposait un Darksiders aussi surprenant que réussi, à l’univers et l’histoire riches, inspirés par le Nouveau Testament. Le scénario de ce second opus en poursuit le développement, mettant en scène le Cavalier de l’Apocalypse Mort dans sa quête pour rétablir l’honneur
La fermeture du Studio Liverpool par Sony, en août 2012, a scellé le sort de Psygnosis, éditeur de chefs-d’œuvre sur Amiga dans les années 90. Traveller’s Tales, l’un des derniers survivants de cette époque dorée pour les développeurs anglais, décline sa gamme Lego depuis 2005.
Project Zero (2001) marquait l’incursion du studio Tecmo dans l’univers du survival horror. Fortement imbibée de l’atmosphère du film Ring, la série accorde une place centrale à un appareil photo ayant pour particularité de révéler les esprits maléfiques entourant son utilisateur. Ce spin-off nous plonge
Ça y est ! Après quatre interminables années de silence, le Moulin rouvre enfin ses portes. La parole à son directeur.
Fermé depuis 2008 dans des conditions plutôt troubles, le Balthazar, salle mythique de la place Paul Cézanne, est en passe de rouvrir ses portes avec un nouveau décor et une nouvelle équipe, mais toujours la même envie : faire bouger les nuits marseillaises
Le duo de krautrock marseillais Deschamps sort discrètement son troisième album et sample Adjani, faisant de son Chérie je panique la plus belle surprise de la rentrée. De loin.
« Harder, Better, Faster, Stronger » prophétisait Daft Punk à l’heure où Marsatac en était encore à ses balbutiements. Aujourd’hui, le festival essaime around the world, et ses ambitions s’affichent sans masque. Analyse du mastodonte, one more time.
Pour la deuxième année consécutive, les Aires Libres s’associent à Marsatac afin de clôturer l’événement sur le site du Palais Longchamp. Une collaboration bienvenue, puisqu’elle permet au festival de s’allouer une « after » dont la crédibilité n’est plus à démontrer, et à l’équipe historique
> Zik Zac Festival > Yves Laplane Trio > Body/Head > Black Dice + Postcoïtum > L’Ocelle Mare > The River
Le co-directeur et fondateur vivace d’ActOral fait le point avec nous sur LE festival des écritures contemporaines à Marseille.
Auteur et explorateur de domaines qu’il rend étrangers, que ce soit le dixième arrondissement de Paris ou le crime non organisé, Thomas Clerc revient nous ravir avec des one man show moquant ce qu’il est et/ou ce qu’il met en scène et plus largement, l’art
Pour l’ouverture de sa deuxième saison, le Théâtre Liberté met en lumière le débat sur la technologie opposant deux musiciens d’exception, Gould et Menuhin, dans une création qui fait la part belle aux images du vidéaste Pierre Nouvel.
Entre altruisme et intérêts communs, Dominique Bluzet, directeur du Gymnase, du Jeu de Paume et du Grand Théâtre de Provence, libère ses plateaux pour dix-neuf compagnies régionales jusqu’à la fin de l’année.