Délire d’essence
<p>Souvent concentré sur son propre nombril, le théâtre se meut de plus en plus en accessoire bavard et insignifiant. Comme si le monde extérieur, qu’il représente et condense, n’existait plus… Avec <em>Elf, la pompe Afrique</em> Nicolas Lambert s’inscrit, lui, dans le théâtre d’utilité publique.</p>