Christian Brazier + Perrine Mansuy Trio > le 24 au Cri du Port Indiran > le 25 à l’Auditorium de la Cité de la Musique Karkan & Fonfamental Kartet > le 25 au Balthazar Ridan le 26 au moulin Fred Wesley > le 25 à l’Espace Julien

Les boutiques de Cannelle de Wladyslaw Znorko par le Cosmos Kolej
Place aux jeunes talents : Le jardin des délices et La Lune des Pauvres
Tangentes, cirque aérien par la Cie MPTA
Histoire de mon corps, par Le Studio de l’aube d’après Hervé Guibert

La petite musique ne trottait plus dans notre tête. La Ligue des champions… Si la mythique intro de Van Halen reste notre indémodable hymne guerrier, le jingle de la Ligue est sa récompense. Qui aurait parié, il y a un mois, que l’OM finirait deuxième du championnat et perdrait la finale de la coupe de France aux tirs aux buts ?

La semaine dernière, nous avions rendez-vous avec François Hiffler et Pascale Murtin. Pas timides, ils nous attendaient sur la grande scène de la Minoterie pour nous parler de leur vie. Avec leurs mots et leurs corps…

Transformer Di Roboter + Anat Ben David > le 17 à l’Embobineuse
Gomm + Zone Libre > le 18 au Poste à Galène
Nelson + One Two > le 18 au Cabaret Aléatoire
Killah Priest > le 19 à L’Affranchi
General Levy > le 19 au Cabaret Aléatoire

Comment Wang-Fô fut sauvé , par le Badaboum Théâtre d’après Marguerite Yourcenar
Tendance Clown # 2, festival clownesque
Le toucher de la hanche, de et par Dimitri Régnier d’après Jacques Gamblin
Ils se marièrent et eurent beaucoup, de Philippe Dorin par la Cie Pour ainsi dire

Vol de nuits, association créée à Marseille en 1998 centrée sur la photographie, est à l’origine d’une série d’expositions autour de la rumeur, « La ville dans les plis, le bruit qui court ». Le projet réunit six photographes, six démarches différentes à la fois dans la façon de traiter ce thème et dans leur rapport à la photographie. Le dernier et quatrième volet réunit Stanislas Amand et Stéphanie Tétu…

On ne le dira jamais assez, l’art et la science sont des domaines où règne en maître la relativité. Mieux qu’une théorisation à la Einstein, Joachim Mogarra s’applique, « l’air de rien », au long de cent cinquante vignettes photographiques, à dégommer ces principes et leur faire manger les pissenlits par la racine…