Le compte à rebours est enclenché. Bientôt, aucune nation de la planète ne pourra échapper à cette vague rouge et blanche (merci Coca), qui participera à délester… (lire la suite)
Autre très belle surprise de la part de Warner parmi ses coffrets spécial Noël : l’hommage au grand dramaturge américain, à travers la réédition de cinq très grands films de l’âge d’or hollywoodien… (lire la suite)
The Asphyx, œuvre « atmosphérique » et raffinée, film unique de Newbrook, dépasse de loin le cadre de série B dans laquelle on a pu si longtemps le confiner… (lire la suite)
Voilà un coffret qui ravira les plus nostalgiques des trentenaires avec deux fleurons de l’animation qui firent les beaux jours de la télévision publique. Avec un coup de cœur… (lire la suite)
Grand retour de Nick Oliveri, depuis son éviction de Queens Of The Stone Age, à la barre de son projet personnel : Mondo Generator. On y retrouve, conformément… (lire la suite)
Bonobo > le 15 au Poste à Galène
Santa Macairo Orkestar > le 17 à l’Affranchi
Jude > le 17 au Poste à Galène
Java vs Winston Mc Anuff + Java + R-Wan > le 18 au Moulin
The Bellrays + The Flash Express > le 20 au Cabaret Aléatoire
Il est plutôt rare de retrouver dans cette rubrique un événement qui plaira autant aux cinéphiles qu’aux noctambules aguerris. En collaboration avec les esthètes pop de Parties Fines, La Plage Sonore (Laurent Kouby du groupe marseillais Loop et ses comparses) nous convie à une soirée-hommage… (lire la suite)
Le patronyme des 2 Many Dj’s était un manifeste : comme des moustiques attirés par la lumière des strobos, chacun s’improvisait disc-jockey, du 4/4 au kilomètre, des envies de notoriété. Avec, bien sûr, la musique au second plan. Le postulat qui a donné naissance à l’entité D*I*R*T*Y est donc des plus louables… (lire la suite)
Rares sont les groupes de hardcore à proposer une réelle évolution stylistique au cours de leur carrière, ce qui fait souvent le bonheur de la critique, moins celui des fans. Partis en 1995 d’un registre… (lire la suite)
Le rock indé a bercé votre adolescence ? Vous avez succombé aux charmes tourbillonnants de Blonde Redhead et aux guitares hurlantes de Mogwai ? Vous avez rêvé… (lire la suite)
Une poignée de singles entendus au printemps dernier nous avait déjà mis la puce à l’oreille et l’eau à la bouche. Des titres comme Made-up lovesong #43 ou Trains to Brazil, baroques et barrés… (lire la suite)
Si vos amis ont encore un peu de mal à vous suivre, en soirée, quand vous tentez de passer autre chose que les sempiternels Mylo et Tiga, voici un excellent produit d’appel au rayon… (lire la suite)
Dans l’imaginaire collectif, le blues est synonyme de guitares et de souffrance, de routes et de diable, bref, tout un attirail coloré qui tend à faire passer ses adeptes pour des nostalgiques… (lire la suite)
Au moment où nous clôturons ce journal, tard dans la nuit, les derniers citoyens américains achèvent leurs obligations en se rendant au bureau de vote. Avouons que l’événement nous fait sourire : paillettes, acteurs liftés en guise de gouverneurs, shows hollywoodiens, scandales intimes et ex-première dame… (lire la suite)
les Rencontres d’Averroès
l’économie sociale et solidaire
l’Equitable Café
L’indignomètre
Journée Internationale des Droits de l’enfant
Rencontres à l’échelle
Poésie dans la chambre
Denis Brun
les Z’Amba
Si l’automne cinématographique (qui va bientôt finir par se transformer en hiver si personne ne fait attention) est avare de choc esthétique, il s’avère en revanche riche d’enseignements sur l’état du monde du cinéma. Nouveau cas d’école… (lire la suite)
Présenté au dernier festival de Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs, Libero y a bénéficié d’un très bon accueil des critiques et reçu le prix de la CICAE, association regroupant des exploitants de salles… (lire la suite)
Los Angeles, années 40, une starlette, Betty Short, est retrouvée atrocement mutilée, façon découpeur de Nip/Tuck. Cette découverte macabre met tout un pays en émoi et la police… (lire la suite)
Jean-Louis Murat > le 8 à l’Espace Julien
Otto Von Schirach le > 9 à l’Embobineuse
Me’Shell Ndegeocello > le 9 au Cargo de Nuit (Arles)
Think Twice > le 10 au Poste à Galène
Jamie Cullum > le 13 au Dôme
Des cinéastes de la Nouvelle Vague, Jacques Rivette est sans doute celui qui, avec Eric Rohmer, a conservé tout au long de sa carrière une fidélité indéfectible… (lire la suite)
Du cinéma australien, on ne retire finalement pas grand-chose. Quelques succès, les Mad Max, et une pléiade de sous-productions hollywoodiennes. L’œuvre de Peter Weir… (lire la suite)
Enfin l’un des grands cinéastes nippons réédité en DVD, après Kurosawa et Mizoguchi. Les quatre films présentés… (lire la suite)
Habitué aux œuvres sulfureuses, le réalisateur italien attaque de front le thème, combien riche, du cannibalisme associé au désir amoureux voire sexuel. A y voir de plus près… (lire la suite)
Nous avons craint le pire en apprenant que le génial réalisateur Raoul Ruiz se mettait aux commandes d’une grosse production sur le peintre Klimt, terrain glissant pour un metteur… (lire la suite)
Magnum ou l’art de faire compliqué quand on peut faire simple. Cette série, diffusée au début des années 80, explosait les codes du genre « policier » jusqu’à en devenir presque insaisissable. C’est ainsi que… (lire la suite)
La créatrice du genre « Lesbian Victorian Romps » est l’auteur à succès de trois faux thrillers historiques narrant les périlleuses quêtes initiatiques de femmes dans les bas-fonds du… (lire la suite)
A dix-neuf ans, May Duignan fuit son Irlande rurale avec les économies familiales pour l’Amérique. En quelques décennies, elle devient Chicago May, une légende vivante de la prostitution… (lire la suite)
Jérusalem, ville de tous les extrêmes. Ville sainte, ville fanatique. Cité millénaire chargée d’histoire, cité repliée sur elle-même. Jens Harder nous propose un carnet de voyage aux croquis… (lire la suite)
Ce Leçon de choses n’est autre que la fin de l’enfance. Le dur passage où celui qui était protégé, insouciant, commence à saisir la cruauté… (lire la suite)
Dans Push Up, Roland Schimmelpfennig passe le microcosme de l’entreprise à la loupe et dissèque les relations sociales, les fantasmes et les névroses des employés. Lutte de pouvoir, guerre sexuelle et intergénérationnelle : rien n’échappe au scalpel incisif de l’auteur, ni à l’interprétation à l’avenant de la compagnie Ma voisine s’appelle Cassandre. Rire ou pleurer ? Tout dépend, vous travaillez à quel étage ? (lire la suite)