Du cinéma australien, on ne retire finalement pas grand-chose. Quelques succès, les Mad Max, et une pléiade de sous-productions hollywoodiennes. L’œuvre de Peter Weir… (lire la suite)

Magnum ou l’art de faire compliqué quand on peut faire simple. Cette série, diffusée au début des années 80, explosait les codes du genre « policier » jusqu’à en devenir presque insaisissable. C’est ainsi que… (lire la suite)

Dans Push Up, Roland Schimmelpfennig passe le microcosme de l’entreprise à la loupe et dissèque les relations sociales, les fantasmes et les névroses des employés. Lutte de pouvoir, guerre sexuelle et intergénérationnelle : rien n’échappe au scalpel incisif de l’auteur, ni à l’interprétation à l’avenant de la compagnie Ma voisine s’appelle Cassandre. Rire ou pleurer ? Tout dépend, vous travaillez à quel étage ? (lire la suite)

Avec Moussu T e Lei Jovents, tout est affaire de dualité. Singulier mais universel, bigarré mais homogène, contemporain mais gentiment rétro… Le paradoxe est-il une clé de voûte de cette petite entreprise (qui ne connaît pas la crise) ?

Lorsque la commissaire Abigaël Martini, fraîchement nominée, est envoyée à Marseille pour résoudre une enquête a priori sans surprise, c’est le lecteur qui est pris à contre-pied. Thomas Azuélos, jeune auteur phocéen dont le dessin n’a rien à envier aux maîtres du noir et blanc, jongle avec une adresse malicieuse entre les codes du polar et une furieuse envie de tous les casser. Intrigué par sa surprenante BD, Ventilo est allé à la rencontre de l’auteur… (lire la suite)

Quand il s’agit d’évoquer les voyages immobiles du GMEM, et notamment son festival Trans’electroacoustique, notre spécialiste aime à plonger dans son karma… (lire la suite)

The Veils > le 25 à l’Espace Julien
Moussu T e lei Jovents + Vibrion + Lo Cor de la Plana… > le 26 au Dock des Suds
Kid Francescoli > le 27 au Poste à Galène
Coldcut + Brass Construction + Mista Sinista… > le 27 au Dock des Suds
Cheb Mami + K’Naan + Salem Tradition + Electro Dunes… > le 28 au Dock des Suds

Le temps d’une représentation, Marc Berman redonne vie à Jean Genet, seul face au public. Un Genet au crépuscule de son existence livrant, avec Un Captif amoureux, un admirable chant du cygne… (lire la suite)