On le sait, l’été est devenu une période privilégiée pour les sorties cinématographiques, lorsqu’il y a dix années encore, la saison n’était dans la profession synonyme que de désertification des salles. L’élévation des températures et, inversement proportionnelle, la chute tarifaire des clims offrent encore de beaux jours aux sorties estivales en salles réfrigérées… (lire la suite)

Manu Larcenet marche au paradoxe et ça lui réussit. Un peu moins à sa production. Le héraut de la nouvelle génération BD — et poule aux œufs d’or de Dargaud — reste néanmoins un auteur remarquable. En attendant sa venue samedi à la Fnac, retour sur un parcours ascensionnel. Et sensationnel ? (lire la suite)

Dirtrucks + Frustration + Nation All Dust > le 6 au Poste à Galène
Marseille Cosmopolite > les 6 et 7 à l’Affranchi
King Automatic + Thundercrack > le 7 à la Machine à Coudre
Akosh S & Gildas Etevenard > le 8 à la Meson
Ben Harper > le 9 au Dôme

Parler de Dj Spooky, c’est parler d’un artiste qui aurait préféré cultiver son univers plutôt que de rester cloîtré sur une seule planète de cet univers. Un univers expérimental constitué d’astres jazzy, d’étoiles dub et de satellites electro baignant dans une constellation hip hop… Ecouter le « Subliminal Kid », tel qu’il se fait appeler, c’est ainsi écouter les diverses facettes de… (lire la suite)

C’est connu, à Marseille, il y a plus de théâtres que partout en France. Alors pour éviter un pénible catalogue des spectacles à ne pas rater, voici une sélection foncièrement injuste, car délibérément orientée… (lire la suite)

Alors que les galeries associatives des années 90 cherchent une nouvelle dynamique, la rentrée reste plongée dans une certaine morosité, essoufflée par la politique saisonnière des « grands événements ». Il y a, néanmoins, une vie après Cézanne. Il suffit de réinventer un regard face à la capacité permanente de l’art à redessiner le monde.

La danse contemporaine s’offre sur trois plateaux cette saison : le Pavillon Noir ouvre grand ses portes à Aix, le Ballet National de Marseille densifie ses activités et le festival DanseM s’ancre tranquillement mais profondément dans la région… (lire la suite)

Incontestablement, la rentrée cinématographique s’engage dans une période de grande transition. Tant en macro qu’en micro-vision. Tant sur un plan international que local. De nombreuses questions se sont ouvertes cette année, qui demanderont à l’art cinématographique et audiovisuel de développer toute une capacité de renouvellement et d’adaptation.

Voilà maintenant huit ans que Mars attaque. Mais aussi, pour esquisser un résumé des aléas des éditions précédentes, huit ans que ce festival se défend : contre vents, marées, et autres difficultés rencontrées par toute personne désireuse, à Marseille, de faire sortir les musiques électroniques hors de leurs carcans respectifs, afin de les faire partager… (lire la suite)

Il y a deux ans presque jour pour jour, nous abordions la rentrée pétris de bonnes intentions et avec une ferme résolution : faire de Ventilo un journal qui nous ressemble plus. Un support qui, tout en conservant son rôle de « service public » grâce à un agenda toujours plus complet, reflèterait mieux son époque, et parlerait davantage à une génération écartelée entre sa conscience politique, ses velléités… (lire la suite)

Les éditos de nos Hors Série estivaux se suivent et devraient se ressembler — l’exercice consistant à annoncer ce que Marseille et ses (larges) alentours nous réservent pour les deux mois à venir et, si possible, à tirer un bilan à mi-parcours de la saison. Le tout à une heure indécente (il est 8 heures, Marseille s’éveille…)… (lire la suite)

Dans un contexte dominé par le tourisme culturel des « grands événements », on remet au centre l’engagement des artistes à créer des possibles qui déplacent notre perception sur le monde… (lire la suite)

Vous êtes sortis toute l’année, mais la saison se termine. Qu’à cela ne tienne : les festivals prennent la relève, et il y a fort à faire pour aller se dégourdir les jambes, si tant est qu’on s’en donne un peu les moyens… (lire la suite)

‘Perfect Gems » ou quand le Festival de Marseille s’attaque au classique… Pures, transparentes, poétiques ou géométriques, ces trois pièces précieuses déconstruisent et subliment la danse classique sous l’égide du toujours génial… (lire la suite)

Le disque : on n’en attendait pas grand-chose. Trop vite estampillé « Air anglais », ce duo revient par la grande porte avec un troisième opus où cohabitent harmonieusement pop, folk et soul 60’s… (lire la suite)