Film -(USA – 1965 – 22mn) de Samuel Beckett & Alan Schneider (MK2)
<p>L'un des plus beaux ovnis du cinéma, toutes périodes confondues. En 1964, Beckett réalise un court film quasi-expérimental, avec un Buster Keaton en fin de carrière...</p>
<p>L'un des plus beaux ovnis du cinéma, toutes périodes confondues. En 1964, Beckett réalise un court film quasi-expérimental, avec un Buster Keaton en fin de carrière...</p>
<p>Porté par la remarquable Michèle Philibert et son équipe, le Festival Reflets remet le couvert pour la sixième année consécutive et nous offre une sélection pertinente de la cinématographie gay, lesbienne et trans internationale...</p>
<p>Rencontre rare, moment d'intelligence pure, soixante-quinze minutes sans interruption d'une discussion à bâton rompu entre l'écrivain et le cinéaste. Filmé le 21 novembre 1984...</p>
<p>Sorti entre les deux tours des élections présidentielles, ce film risque malheureusement de hanter nos mémoires pour les (cinq, au minimum !) années à venir. Ce qu’il y a de fort, et de fort triste...</p>
<p>Décidemment, la vie est belle (voir l’article de la semaine dernière sur <em>Une jeunesse chinoise) : « Nous n’avons jamais eu un tel pouvoir d’achat, nous n’avons jamais été aussi heureux</em> », rappelle...</p>
<p>Il y a certains films dont l’extrême sophistication et les trajectoires sinueuses ouvrent la voie aux délices de la complexité. <em>Les Oubliés de Juarez</em> auraient plutôt tendance à nous rappeler que la simplicité a d’indiscutables...</p>
<p>Un autobus passe dans un village du fin fond de l’Argentine sans s’arrêter... Sous son côté inoffensif, anecdotique, ce petit roman tisse une critique acerbe. Composé en grande partie de dialogues...</p>
<p>Gacha Empega > le 2 à l’Intermédiaire<br /> The Elderberries > le 3 au Balthazar<br /> Gnawa Diffusion > le 3 à l’Espace Julien<br /> Izabo + Phosphene > le 3 au Cabaret Aléatoire<br /> The Procussions > le 4 à l’Affranchi</p>
<p>Mocky a tout fait. Le trublion sans foi ni loi du cinéma français est passé de la réalisation de polars post-melvilliens (dont, plus jeune, il semblait lui-même sortir, cigare au bec et affublé de son éternel...</p>
<p>Il y a sans doute une poignée d’irréductibles qui, à l’instar de ma mère (ou peut-être même d’Henri Seard, qui sait, bref…) se dit que deux semaines de repos altèrent le jugement et que je ferais mieux...</p>
<p>Avec <em>Moolade</em>, le grand Sembene Ousmane a confirmé sa position unique au sein de la production cinématographique africaine. Un chef d’œuvre, osons-le dire, qui attaque de front le terrifiant sujet de l’excision...</p>
<p>Certains films collent parfaitement à l’actualité. Hasard du calendrier ou stratégie marketing, <em>Le candidat</em> sort dans les salles dix jours avant le premier tour des élections présidentielles...</p>
<p>Décidemment, la vie est belle (voir la chronique de <em>Norway of life</em> la semaine passée) : Anna, femme-enfant travaillant dans la prestigieuse bibliothèque nationale, offre tous les atours du bonheur...</p>
<p>Plastiscines > le 20 au Poste à Galène<br /> Tarwater + Abstrackt Keal Agram > le 20 au Cabaret Aléatoire<br /> This is pop > le 21 à l’Intermédiaire<br /> Apkass + Duval Mc > le 21 au Balthazar<br /> Alarma Man > le 24 à l’Embobineuse</p>
<p>Ensemble Symblêma Percussions > le 12 au Théâtre Gyptis<br /> Sashird Lao > le 12 au Cri du Port<br /> Boya > le 13 à la Cité de la Musique<br /> Shaolin Temple Defenders feat. Martha High > le 13 à l’Espace Julien<br /> Kourgane + Tapetto Traci > le 14 à l’Embobineuse</p>
<p>La vie est belle. La force des courbes du canapé, dans ce loft de verre et de béton ciré, forme une harmonie qui déploie toute sa quiétude au moment du dîner, bio. Les gens, blancs, beaux, sont souriants...</p>
<p><em>Les Contes de Terremer</em> sont aux studios Ghibli ce que <em>Canada Dry</em> est à la bière : semblable à s’y méprendre tout en étant autre chose. Emballé comme du père (dessins, couleurs, personnages, thématiques écolos, etc.)...</p>
<p>Le buzz (très parisien) de la rentrée. L’intello du hard, le penseur queutard Hervé P. Gustave, pendant masculin de l’engagée Ovidie, sort en DVD son premier faux-vrai film (ou l’inverse), malgré une flopée d’opus derrière lui, moins médiatisés...</p>
<p>Actu / Elles un projet du Théâtre de la Mer<br /> Shellachrymellaecum par The Buchinger’s Boot Marionnette<br /> Mohican Dance / La puce à l'oreille, deux pièces par le Cartoun Sardines Théâtre<br /> Caligula d’Albert Camus par Charles Berling<br /> La nuit juste avant les forêts de Bernard-Marie Koltès par Iljir Selimoski</p>
<p>Ne vous trompez pas sur le dernier film de Jacques Rivette ; il n’y est nullement question d’un bûcheron égoïste qui ne voudrait pas prêter son outil de travail. Le titre correspond plutôt au nom initial d’une...</p>
<p>Oh, la belle idée de cinéma ! Oh, le geste radical ! Imaginez un téléphone portable — symbole à peine voilé de la dictature consumériste rongeant notre monde occidental — qui deviendrait le corps-siège du malin...</p>
<p>Un matin, à la frontière du Texas et du Mexique, Llewelyn Moss tombe par hasard sur les traces d'un carnage : des cadavres, un agonisant, des armes, de l'héroïne, et plus de deux millions de dollars en liquide.</p>
<p>Digne héritier d'Akira Kurosawa, Eiichi Kudo, récemment décédé, fut l'un des cinéastes nippons de la flamboyance, associée à l'intelligence. Il rejoint en cela les grands noms, Misumi ou Hideo en tête. Kudo a offert...</p>
<p>Par son univers décalé, <em>Hic</em> nous avait déjà laissé en bouche un goût bien étrange. Confirmation avec cet époustouflant opus, qui nous plonge au sein d'une famille hongroise, sur trois générations, au XXe siècle...</p>
<p>Avec <em>Nox</em>, Marie Bovo expose des photos et des vidéo qui apparaissent comme autant de traces lumineuses d’un chemin à parcourir et à explorer... dans l’obscurité.</p>
<p>Avec sa série de photographies et de vidéos <em>Stations</em>, Laurent Dejente désarçonne nos habitudes visuelles et nous amène, de stations en stations, à reconsidérer notre sens de l’orientation...</p>
<p>Après l’enquête engagée — <em>Le cauchemar de Darwin</em> — et avant la bombe <em>We feed the world, Notre pain quotidien</em> nous rappelle combien le cinéma autrichien représente aujourd’hui une locomotive... (lire la suite)</p>
<p>Certains d’entre vous se souviennent peut-être de ce documentaire au nom improbable, <em>Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés</em>, qui s’immisçait dans l’intimité des consultations de la médecine du travail. Hélène de Crécy...</p>
<p>Lecteur, ne te laisse pas embobiner par les cyniques, les météorologues et les prévaricateurs en tous genres : le printemps est bel et bien là, comme en témoigne la sortie du <em>wu xia pian</em> annuel. Après le fatigant <em>Hero</em>, le sympathique...</p>
<p><em>De quoi sont les images faites ?</em> : encore une analyse sur ce qui est décomposé et qui décompose quoi ? Sur qui manipule qui et qui manipule quoi ? Pas vraiment. L’expo proposée par Vidéochroniques met l’accent sur l’enjeu des interrogations plus que sur d’éventuelles réponses. Propositions...</p>