Edito n° 162
<p><em>Le vent se lève</em> de Ken Loach, donc. Parce que les temps sont durs peut-être. Parce que la guerre, civile ou non, et le rapport colonisateurs/colonisés est dans l’air du temps. Parce que les jurés, entre deux montées des marches en Gucci-Prada-Chanel hors de prix culpabilisent un peu. Parce que le vent, justement a trop soufflé. Et puis parce qu’il n’y avait peut-être rien d’autre à primer... (lire la suite)</p>