Les accords de Paris de la COP21 demeurent la rare bonne nouvelle venue du monde politique ces dernières années. Depuis la crise financière de 2008, les décisions prises semblaient toutes faites pour nous peser un peu plus sur le système. À la surprise générale, la communauté internationale prenait acte du changement climatique et ses conséquences aussi néfastes qu’imprévisibles sur les populations. La Chine et les États-Unis se mettaient d’accord sur autre chose que la guerre. L’urgence, limiter le réchauffement climatique au dessous de deux degrés d’ici 2100, au risque de voir des territoires engloutis sous les eaux issues de la fonte des glaces, de millions de personnes déplacées par l’eau montante et le manque de nourriture, des espèces s’éteindre à petit ou grand feu. Chaque pays de s’engager à une méthode de diminution drastique des gaz à effet de serre. La plus évidente, développer les énergies renouvelables et transiter depuis l’énergie fossile vers celle créée par le soleil, le vent