Depuis seize ans, Ventilo invite chez nous les arts et les lettres, savoure le beau et le bon et prépare l’apéro. Le mercredi, on arpente notre lieu favori à sa recherche et on répète avec plaisir « Vous avez le Ventilo ? ». Heureux que nous sommes de disposer de ce journal à notre guise, de le retrouver sur notre chemin, d’admirer sa couv ! Global et local, à l’affût du monde et réjouissant autour de lui artistes, journalistes, photographes, graphistes, webmasters, diffuseurs, imprimeurs. L’inexcusable tendance des pouvoirs publics est de réduire encore et toujours la voilure de la culture. De ne plus l’accompagner que contre retour sur investissement. L’existence de votre journal repose sur l’indépendance de sa rédaction, l’exhaustivité de son agenda et l’amour des uns et des autres créateurs. Numéro après numéro, année après année, nous renouvelons l’envie de nous rencontrer, sans compter. Et pourtant, un sou est un sou, chez nous comme chez tant d’autres Si les