Derrière ce festival porté par Red Plexus et la Mairie 2&3, l’envie de changer les mentalités sur les bars de ce quartier difficile, quasi uniquement fréquentés par des hommes, et les ouvrir à plus de femmes. Durant quatre samedis d’affilée, des évènements auront lieu dans
Auprès de ma Belle de Mai Guitariste au sein d’une multitude de groupes emblématiques de la scène rock marseillaise des années 2000, Pascal Escobar a définitivement tourné la page musicale. Son premier roman, publié aux éditions Le Mot et le reste, se veut une exploration de
Diasporama Du 21 au 30 juin, la dix-huitième édition du festival Africa Fête donnera la parole à nombre d’artistes issus de la diaspora. Musique, littérature, danse
Après deux ans d’annulation, la Belle Fête de Mai s’organise pour sa vingtième édition à travers les structures et les associations du quartier. Pendant quatre jours, la Belle de Mai fourmillera de propositions gratuites mettant en avant le dynamisme de celles et ceux qui en font une place forte de la
Marche ou rêve Deux livres parus récemment nous proposent un regard sur la cité phocéenne, ses espaces, ses habitants, ses mutations : Place du Peuple de Michel Samson et À propos de Marseille de Déborah Legivre. Deux regards sur Marseille, l’un à l’agachon, l’autre en marchant. Place du
L'odyssée des espaces L’association Lieux Fictifs nous embarque une fois encore vers des hétérotopies visionnaires, cette fois créées par les jeunesses, vers un « Terrain Commun », pour une première édition « Des Jeunesses à la Friche ». Porte d’entrée : la Salle des Machines et l’espace Petirama. L’exposition Et
Calendrier de l’avent en poche, on déballe nos premiers cadeaux à l’Embo. Tout bonnement déroutante, l’étendue stylistique escortée par nos chouchous de la Belle de Mai n’a de cesse d’émouvoir. Après un marathon musical « Dernier Cri » en début de mois, place à une course de
Bel AMI Consolons-nous, la reprise sera ponctuée d’événements musicaux de choix : du 1er au 3 septembre, l’A.M.I. nous promène en musique dans les jolis lieux qui font la Belle de Mai. Jamais d’Eux Sans Toi, c’est la promesse d’une effervescence auditive enrichissante, le tout gratuitement. L’A.M.I – Aide
Sortie de couveuse au Couvent, l’Embo déloge sa noise et dépoussière ses câbles. L’occasion de revoir nos bobines grisées, recouvrant nos mines estivales lors d’une longue après-midi thématique. À son image, la salle sombre du boulevard Bouès pervertit le feu lieu saint et y attire
Effets de styles, éphémère éclosion féminine, effusion artistique engagée, ou la preuve même qu’une bataille éthique n’est pas forcément enragée. Les Festives, c’est le bébé du collectif Éclosion 13, qui promeut depuis 2012 l’égalité homme/femme dans le spectacle vivant. Le restaurant le Rouge Belle de
Le Couvent se lève L’été pointe (enfin) le bout de son nez, faisant émerger avec lui un projet humain et culturel des plus juteux. Qu’on se le dise, la Belle de Mai « couve » quelque chose de joliment fiévreux qui rassemble déjà un public nombreux. En plein
Ce printemps, que de richesses culturelles nous sont proposées dans le quartier connu pour être l’un des plus pauvres de France. La Belle de Mai prend des allures de beau damier artistique et organise par le biais de nombreuses associations un week-end entier d’activités alliant
Portraits cachés Une fois de plus, le Gyptis s’impose, par la qualité de ses cycles et thématiques, parmi les salles les plus sémillantes qui soient. Dont acte avec « Le Portrait », nouveau rendez-vous qui offrira, tout au long du mois de mars, une programmation de grande qualité. C’est
Cinéma de quartier L’association Tilt propose, pour la quinzième année consécutive, la restitution de ses ateliers de programmation Cour(t)s-y vite !, durant lesquels les élèves de trois établissements de la Belle de Mai ont construit collectivement une programmation de courts-métrages. Une large mutation s’est opérée dans les
De sacrés numéros Cela ne vous a peut-être pas échappé : Juxtapoz, ces magiciens qui avaient transformé le complexe scolaire Saint Thomas d’Aquin en temple du street art, ont investi un couvent. Amen. Après avoir mobilisé près de 43 000 visiteurs grâce à la résidence Aux Tableaux !, après
Aller (pas si) simple Le Gyptis consacre sa nouvelle thématique, « Je viens », à la question des migrations, dans une vision kaléidoscopique et humaniste, avec une pléiade de rencontres et de films, comme à l’accoutumée de très belle facture. Nous le constatons mois après mois : difficile pour le
Etoiles et toiles Avec l’arrivée de l’été, les projections en plein air — souvent gratuite, toujours conviviales — envahissent les parcs et les places des villes et villages. Le cinéma sort des salles le temps d’une (belle) saison. A la nuit tombée, les écrans s’allument, les enceintes crépitent
Si les postures médiatiques de Theophilus London ont le pouvoir d’en ennuyer plus d’un, il ne faudrait pour autant pas ranger chacune de ses apparitions musicales au rayon « textiles ». Son album témoigne d’ailleurs d’une sympathique envie de décloisonner les genres en rendant par là-même hommage
Les chemins de la connaissance « Révéler les territoires par des dispositifs relationnels », tel est l’enjeu d’Ici-Même, collectif grenoblois qui propose avec Une nuit à la Belle d’approfondir notre connaissance de soi et de l’autre par le biais du déplacement et de la rencontre avec des inconnus. Fondé
Jolis mômes Le Gyptis propose début avril un cycle cinématographique consacré à l’enfance, genre cinématographique à part entière dont les déclinaisons furent multiples depuis cent vingt ans d’histoire de l’image animée. Sujet de nombreux ouvrages, et d’une multitude de thèses, l’enfance au cinéma a connu un si
Cyber-éthique Au cœur de la Friche la Belle de Mai se cache l’espace ouvert de l’association Zinc. Découverte du Transistor, qui conjugue habilement création et créativité. « Le Transistor, c’est la vitrine de Zinc », déclare Pierre Piccon, médiateur et assistant de projet de l’association. Une vitrine multimédia qui
Rythmes solaires Le Gyptis étire dorénavant ses cycles cinématographiques sur deux semaines, abordant pendant la première quinzaine de février les liens mythiques entre musique et cinéma, genre à part entière qui offrit les plus beaux livrets du cinéma. Avant même la naissance officielle du cinéma, lorsqu’Emile Reynaud
Portrait de femme Le temps d’un week-end, le Gyptis accueille la réalisatrice Agnès Varda pour un bel hommage à la plus atypique des cinéastes françaises, dont l’œuvre empreinte de liberté ne cesse encore de nous bouleverser. Rares, bien rares, sont les parcours cinématographiques et les chemins de
Le manège enchanté L’équipe vaillante du Gyptis s’associe à la Fête foraine proposée à la Friche, en abordant cette thématique fondatrice pour le cinéma qu’est la représentation de l’art forain à l’écran. Petit tour de manège des attractions proposées. Si le cinéma trouve sa source dans la
Plein gaz Le Gyptis propose le premier volet d’une programmation consacrée à l’automobile à l’écran, pièce maîtresse d’un genre à part entière, qui a accompagné le cinéma dès ses premiers pas. Développée conjointement à l’industrie cinématographique, l’automobile sous toutes ses formes a figuré dès les premiers films
Tour d’horizon Bien connu du milieu alternatif marseillais, le Collectif 360° et même plus investit le temps d’une soirée le Polygone étoilé pour la sortie de la première édition du DVD cActus, compilant une poignée de films réalisés par cette structure particulièrement dynamique et profondément ancrée
Un Taïwan nommé désir « Souvent, on nous dit qu’on a un engagement politique fort. On répond qu’on a un engagement poétique. » Directeur artistique des Instants vidéo, Marc Mercier a placé la vingt-septième édition du festival sous le signe de la libre circulation des corps et des
Non mais Allio, quoi ! De l’Alhambra à l’Institut de l’Image, en passant par le Renoir de Martigues ou le Méliès de Port-de-Bouc, de nombreuses salles régionales programment actuellement un cycle de trois films consacré à René Allio, l’un des plus grands cinéastes marseillais. L’attention du public et
Bas les masques Le Gyptis, dont l’ouverture a fait grand bruit, entame son activité avec deux cycles bien sentis : « Frissons, derrière les masques » et « Street, vous avez dit street ? ». Nous l’évoquions dans notre dernier numéro, le Gyptis, nouvel écran marseillais situé dans le quartier de la Belle
Archirama Après Strasbourg en 2012, la Friche La Belle de Mai accueille ce week-end les Vingt-quatre heures d’architecture, événement national qui prend tout son sens dans le temple de la réhabilitation post-industrielle. A l’origine de la manifestation, on trouve le réseau des Maisons de l’Architecture, association qui