Bobines et bambins À l’instar des années précédentes, l’équipe de Cinémas du Sud propose aux quarante salles adhérentes régionales les excellents ateliers de la manifestation Cinémanimé. L’occasion de sensibiliser le jeune public aux techniques d’animations et de réalisations de films. Ce journal s’en fait à chaque numéro
Cité des anges La réalisatrice marseillaise Bania Medjbar sort en salles son premier long métrage, Le Crime des anges, qui va connaître un certain nombre d’avant-premières régionales, suivies d’une exploitation en salles. Un film puissant et rare, à découvrir sans tarder ! Pour le pire (Taxi, Marseille) et
Bande des mots Chaque année, la structure Cinémas du Sud propose aux salles régionales un cycle cinématographique accompagné d’intervenants de qualité. Cette année, l’occasion nous sera donnée de se questionner sur les liens complexes et pourtant puissants entre cinéma et littérature. Si nous allons vers l’imaginaire littéraire
Au fil des images L’association Cinémas du Sud propose cette année encore, dans les salles de la région, la manifestation CinémAnimé : une vingtaine de films (dont de multiples avant-premières), et six animations ludiques et variées à destination du jeune public, offrant un voyage imaginaire au pays
L’enfance de l’art L’équipe de Cinémas du Sud propose cette année encore la manifestation CinémAnimé, un dispositif dont s’emparent de nombreuses salles de la région, afin de proposer au jeune public de nombreuses activités autour de films délicieusement réjouissants. Régulièrement cité dans ces colonnes, le rayonnement de
A l’encre noire Neufs soirées, une trentaine de films et une programmation aux petits oignons (notamment une rétro Melville) pour la semaine du Festival vitrollais Polar en Lumières. D’Henri Verneuil à Jean-Claude Izzo, la tradition du polar est inscrite depuis de nombreuses années dans l’ADN de la
L’ailleurs c’est ici A Marseille plus qu’ailleurs, le quotidien frôle des pans d’histoire de la ville et de France sans s’en rendre compte. Il est des lieux où la mémoire est fragile et tend à disparaître. Telle est l’histoire des Chibanis, à laquelle le film Perdus