Festival P.H.O sur les îles du Frioul
En juin, le OFF se pose sur les îles du Frioul pour y installer le festival P.H.O, visant à réinventer la cité phocéenne. Explications.
En juin, le OFF se pose sur les îles du Frioul pour y installer le festival P.H.O, visant à réinventer la cité phocéenne. Explications.
L’objet de toutes les curiosités, de toutes les attentes, ouvre enfin ses portes. Au-delà d’un musée, le MuCEM est un objet architectural, pensé en termes d’urbanisme, qui dévoile une programmation d’envergure.
« Aie le courage de construire des ponts à travers les plus durs des chocs culturels. » Avec Le Pont, le [mac] prend au mot le philosophe Michel Serres et propose un étonnant voyage sensoriel autour du monde.
« Puzzle aléatoire, d’éclairs et de zones d’ombres, récit en pointillés sur le signe de l’impossible
Depuis plus de cinquante ans, Barbie impose son style et sa plastique (trop) parfaite à travers le monde. L’association POC s’est penchée sur le phénomène et propose une exposition en trois temps autour de cet objet de tous les fantasmes et de toutes les contradictions.
A quelques jours de l’inauguration du Musée des Civilisations d’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), rencontre épistolaire (pour cause d’agenda surchargé) sans fioriture avec Rudy Ricciotti, l’architecte du nouveau musée marseillais.
En moins de cinq ans, le festival des Arts Ephémères s’est imposé à Marseille comme un événement majeur et incontournable de l’art contemporain. Il offre aussi l’occasion d’une balade dans le parc de Maison Blanche, où la nature est une exposition permanente à elle seule.
En 2013, l’association Voyons Voir aura joué le jeu de la Capitale culturelle en déployant pas moins de huit expositions jusqu’à la fin de l’année, réunies sous un titre générique emprunté à Maurice Blanchot : Peu à peu quoique aussitôt… le temps de la métamorphose.
La galerie du Conseil général des Bouches-du-Rhône propose de parcourir la création provençale à travers un riche panorama de sculptures contemporaines.
La Straat Galerie a fait peau neuve et ouvre son nouvel espace, rue des Bergers, à l’exposition de Nicolas Nicolini. Conditionnel évoque un monde incertain dans lequel le regardeur se perd sans retrouver son chemin.
Une Manufacture dédiée au génie créatif et dont l’agence de communication voisine, à la fois mécène et partenaire, permet un certain rayonnement à Marseille ? C’est la combinaison ingénieuse lancée par Nathalie Dunoir et Sylvain Blanc, aficionados d’une forme d’art atypique, voire marginale. Un projet
Le OFF rallume le J1 le temps d’une soirée, sous le signe de la fête.
Où l’on remet un coup de Klaxon dans le plus vieux quartier de la ville.
Avec les beaux jours revient le Printemps de l’Art Contemporain, histoire de profiter de la douceur des premières soirées de mai, en parcourant différentes galeries d’art. Durant trois jours, trois parcours dans trois quartiers et une quarantaine d’expositions attesteront que « l’art s’introduit contre toutes
A Aubagne, l’exposition Picasso, céramiste de la Méditerranée offre une prodigieuse occasion d’apprécier le foisonnement protéiforme de cet artiste sans limites.
A la fois géographique et artistique, Le Voyage extraordinaire en Métropole invite à porter un regard croisé sur les dix-huit communes de MPM et sur six plasticiens régionaux.
Montée par le photographe marseillais Serge Assier, l’exposition Quatre rives et un regard nous offre sa vision, très humaine, portée sur quatre ports : Anvers, Barcelone, Marseille et Rabat.
La très conviviale Jetée (espace d’exposition du cinéma Les Variétés) rassemble plusieurs séries du superbe travail d’un photographe singulier, Doog Mc’Hell (alias Philippe Maquelle), dont certains montages ont déjà fait la couverture de votre journal culturel préféré
A la Friche, le roulis du stakepark, les trains qui glissent vers la mer et les remous continus du site offre à l’exposition La Dernière Vague un écrin où tout prend sens, mettant l’art contemporain sous les feux de la rampe.
Pour sa nouvelle exposition à la Galerie du 5e, le réseau Marseille Expos confie les clés à Camille Videcoq, tête pensante de l’art contemporain, qui signe un commissariat critique, dans le bon sens du terme.
Le collectif LFKS livre, dans la Grande Halle des anciens ateliers SNCF d’Arles, une œuvre monumentale en hommage aux Blacks Panthers.
Le Musée Départemental Arles Antique fait revivre Auguste Rodin de manière inédite. Des œuvres du célèbre sculpteur et dessinateur côtoient des statues antiques dans une proximité artistique aussi réelle que confondante.
La vingt-huitième édition du Festival international de Mode et de Photographie est le reflet de futurs possibles à travers l’inspiration des couturiers et photographes de demain. Ces derniers nous convient aujourd’hui à un voyage au centre de notre cerveau.
Le Cabaret Aléatoire propose This is (not) music, un festival qui croisera sans forcer musique, art et culture skate. Que l’on soit rocker, graffeur ou skateur, chacun poursuit le même désir, celui de créer un espace de liberté à l’intérieur même de la ville.
D’hier et d’aujourd’hui, d’ici ou d’ailleurs, la BD est déclinée sous toutes ses formes, du magazine graphique jusqu’à l’adaptation des classiques de la littérature. En disséminant des expositions aux quatre coins d’Aix-en-Provence, les Rencontres du 9e Art proposent un grand tour d’horizon de cette discipline
A quelques encablures de l’avenue du Prado, la Villa Bagatelle accueille en son jardin l’exposition L’Art dans le Parc. Un parcours poétique en treize œuvres, parfait pour accueillir les beaux jours.
A la galerie Bartoli, une rétrospective consacrée à Louis Cordesse signe le retour au pays natal d’un fils prodigue en cette année capitale. Un bel hommage à cet artiste qui, au-delà d’une œuvre, a laissé tout un langage.
« Comment se perdre sur un GR® » : c’est ce que l’Agence Touriste propose d’apprendre au visiteur de l’exposition Le Palais et le Sentier. Direction le Palais de la Bourse pour emprunter le sentier du GR® 2013 en suivant les balises rouges et jaunes.
Le 26 mars dernier, le FRAC nouvelle génération, dont la façade de pixels de verre gardait précieusement le secret de l’intérieur du bâtiment imaginé par Kengo Kuma, ouvrait enfin ses portes. Inauguration en grandes pompes où se ruait tout le petit milieu de l’art contemporain
En décembre dernier, Romain Lombardo ouvre, rue Sainte, un espace dédié à la création, qui permet à ce galeriste aficionado du graffiti d’y dévoiler des œuvres riches en couleur et en originalité.