Richard Baquié chez Où
Les murs blancs de l’espace Où offrent aux passants de la rue Jean de Bernardy le temps de s’accrocher aux mots de Richard Baquié.
Les murs blancs de l’espace Où offrent aux passants de la rue Jean de Bernardy le temps de s’accrocher aux mots de Richard Baquié.
La bande de CompleX réactive le projet Boîte, dans l’idée d’offrir un vrai coup de projecteur sur un artiste et de se pencher, consciencieusement, sur l’ensemble d’une pratique artistique. Dont acte avec Mir Grabe, que l’on retrouvera pendant toute l’année, pour un cycle de trois
Experte du coup de crayon noir, du Dernier Cri à l’Association, Caroline Sury réinvente l’art du découpage dans sa nouvelle exposition, Membracides. Avec des formes à la fois torturées et délicates, l’artiste nous surprend et nous fascine. Une fois de plus.
Dans le cadre du parcours Klaxon du OFF, l’agence immobilière Terrasse en Ville se mue en galerie pour accueillir Samuel Guigues. Le jeune et talentueux photographe y présente Nature humaine, une exposition qui met les loups à nos portes…?
Pour sa sixième édition, sous l’égide de MP 2013, Latcho Divano propose, notamment via l’exposition Portraits croisés, un voyage à travers la culture tsigane. Profitant de l’occasion pour mettre en lumière « l’autre Capitale 2013 » : Kosice, en Slovaquie.
La particularité de la GAD, petite galerie d’art qui se débrouille toute seule (entendre non subventionnée) à l’enseigne discrète, voire inexistante, est d’associer espace de vie du galeriste et espace d’exposition. Visite particulière.
Les plus belles histoires naissent souvent du hasard… C’est le cas de la Citerne du Panier, dont les hôtes se sont improvisés « galeristes » sans avoir la moindre expérience en la matière. Récit.
Si les quartiers Nord n’ont pas toujours bonne presse, cela n’empêche pas les acteurs culturels de venir s’y implanter. Dernier arrivé en date, le collectif Planète Emergences s’est installé dans la bastide de la Mairie des 13/14 afin de mettre en lumière la richesse culturelle
La Fondation Regards de Provence, qui promeut depuis 1998 la peinture de Provence et de la Méditerranée, a quitté le Palais des Arts pour s’installer dans un bâtiment atypique qu’elle a rénové, et auquel elle consacre une passionnante exposition.
Diffusées sur divers supports, les émissions Picot’art sont conçues comme des petits marchepieds audiovisuels vers le monde de l’art de notre territoire.?
Désormais commissaire, Lydie Marchi s’associe à Karima Celestin pour proposer une réflexion sur la couleur, et plus particulièrement le noir. Plus d’espoir ?
Si, comme le constate la commissaire Christine Poullain, « Matta est l’un des derniers grands surréalistes », cela fait pourtant trente ans que l’artiste n’a pas fait l’objet d’une exposition. Réparation en bonne et due forme au Musée Cantini.
L’ancienne Bourse des Marchandises de Marseille nous emmène dans une délicieuse promenade iconographique à travers les réclames d’antan.
La Jetée, espace galerie/bar du cinéma Les Variétés, reprend vie après six mois de silence, sous la houlette de la Jnoun Factory. Rencontre avec Nadia Lagati et Phillipe Ivanez, deux artistes marseillais férus de photographie, d’art, de design et de cuisine du monde.
Pour les défenseurs de la « vraie culture », la Japan Expo Sud ressemble à une fête pour adolescents grimés en personnages japoniais, l’épouvantail d’une sous-culture dédaignable. Pourtant…
Retour dans les quartiers Nord pour le Château de Servières qui, en marge de sa programmation habituelle aux Ateliers d’artistes du boulevard Boisson, retrouve la Bastide des Castors pour une année 2013 exceptionnelle.
Délocaliser l’art de son présumé lieu de prédilection ? Un projet audacieux, mis en œuvre avec brio par Didier Gourvennec-Ogor, qui invite des galeries parisiennes à investir « l’autre Capitale ».
Au Musée Granet, quinze artistes ont créé en écho pour livrer une exposition protéiforme, mais dont l’esthétique commune rend compte des réalités méditerranéennes.
Faisant le chemin inverse de la galerie Seize, dont il est l’un des membres fondateurs, Nicolas Henriot passe de la rue aux cimaises.
La Friche inaugure deux nouveaux lieux ainsi qu’une exposition, qui mêle voyage, histoire et mémoire pour nous emmener Ici et Ailleurs, des deux côtés de la Méditerranée. Le premier rendez-vous immanquable de 2013.
Issus des archives de l’association Arts et Développement, les très beaux dessins d’enfants exposés à la Galerie des Quais au J1 nous interrogent sur la notion d’œuvre d’art.
Fraîchement arrivée sur la petite scène des galeries d’art contemporain à Marseille, Karima Celestin tente le syncrétisme entre deux visions du métier, l’une « à la parisienne » avec un certain raffinement, l’autre « à la marseillaise » en choisissant d’installer sa galerie rue Sénac.
Comme l’a démontré la récente disparition de la Tangente, le pari d’une galerie d’art contemporain au sein des Puces des Arnavaux semble un peu fou. La Galerie Saint Laurent relève le défi de fort belle manière. Une initiative à soutenir, car les idées les plus
L’exposition Partager les murs est l’occasion de revenir sur le travail remarquable des enseignants de l’Artothèque. Des passionnés qui n’ont de cesse de générer des rencontres avec l’art, rendant ainsi la culture accessible à tous.
Au cœur du Panier, dans l’ancien hospice de la Vieille Charité, les Marseillais redécouvrent un Trésor antique, magnifié par les photos de Joseph Koudelka.
Projet phare de Marseille Provence 2013, le J1, immense hangar jeté à quai, est une invitation au voyage, à la croisée de chemins entre le centre-ville, le port de commerce, un peu en l’air et déjà en mer.
Sous la houlette de Xavier Douroux, ancien directeur artistique de la Fondation Vasarely (grande laissée pour compte de 2013), et Anne Pontégnie, commissaire émérite, onze stars internationales disséminent leurs œuvres dans Aix-en-Provence, histoire de remettre L’Art à l’endroit.
En attendant son ouverture prévue en mars, le FRAC PACA lance d’ores et déjà son projet Ulysses, un itinéraire d’art contemporain regroupant une centaine d’artistes à travers tout le territoire Marseille Provence 2013. Soit la plus grande et la plus pertinente exposition collective d’art contemporain
En ouverture de son cycle d’expositions intitulé « Le Mauvais Œil sur 2013 », le Dernier Cri invite le Tampographe Sardon dans son atelier de la Friche La Belle de Mai. Une belle (contre)façon pour ce collectif d’auteurs d’attaquer sa vingtième année.
Loin des festivités associées à 2013, Bernard Plasse continue de montrer de l’art contemporain et de soutenir les artistes. Sans aucune concession aux modes et aux tendances, la Galerie du Tableau, qui accueille cette quinzaine Franck Lesbros, demeure ainsi pour les artistes marseillais un havre