Où et quand ? Chez Oh! Mirettes (Marseille 6e), jusqu’au 2/03 Pourquoi on y va ? Parce qu’il n’y a pas de raison d’attendre le printemps pour monter en température et réveiller nos désirs. Avec ses dessins olé-olé, l’illustratrice marseillaise (que l’on suit depuis un moment déjà, et
Où et quand ? Au Musée d’Histoire de Marseille (1er), jusqu’au 10/03 Pourquoi on y va ? Parce qu’au moment où le droit du sol est remis en question par le ministre de l’Intérieur, et alors que les mots (et les idées) de l’extrême droite se retrouvent dans
Objectif : l’autre C’est la cinquième édition d’une jolie aventure : le pari de Flore Gaulmier (avec la complicité du maître des lieux, Damien Bouticourt) d’amorcer en dévoilant des cheminements créatifs, pas encore aboutis, est sacrément réussi ! Autour d’un même thème, la rencontre, ce sont ici quatre femmes photographes
Durant dix ans, de 2012 à 2022, Geoffroy Mathieu et Bertrand Stofleth, accompagnés de contributeurs, ont reconduit chaque année cent points de vues pris sur le GR2013. Le sentier métropolitain est un fantastique lieux d’appréhension du territoire, qui enjambe trente-huit communes entre espaces naturels et périurbains,
Où et quand ? Aux 8 Pillards (15 Rue des Frères Cubeddu, 14e), samedi 10/02 Pourquoi on y va ? Les Pas Perdus, groupe d’art contemporain collaboratif initié par Guy-André Lagesse, constitué d’artistes français et sud-africains, lance le Joyeux Débarras de plusieurs centaines de leurs œuvres (trente-cinq ans
Nu dans la foule Le Frac Sud invite le chorégraphe Boris Charmatz pour une exposition, sous le commissariat de Muriel Enjalran, où la danse devient un objet filmé et se confronte à la question de la peinture et de l’espace public. La danse filmée, c’est une recherche
Histoires naturelles Avec l’exposition inédite Mon pauvre cœur est un hibou, le Mucem transporte les visiteurs dans l’œuvre du prolifique René Perrot (1912-1979). Le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée a choisi, en cette fin d’année, de mettre à l’honneur ce peintre méconnu. Ce
Pourquoi on y va ? Si nos yeux commencent à saturer des guirlandes criardes et clignotantes, et nos oreilles des incessantes clochettes guillerettes, pourquoi ne pas leur proposer une immersion sensiblement plus subtile ? Lui aussi fait de sons, de lumières et de mécanismes robotisés, un ensemble
Pourquoi on y va ? Pour se laisser avaler par le sombre univers onirique de la peintre roumaine, qui fait sa première exposition en France en solo à Kokanas, galerie sur les hauteurs d’Endoume. Cătălina Milea a définitivement plongé dans la nuit, nous y charrie à sa
Pourquoi on y va ? Un court texte d'introduction (où il est question d’Afrique, de sorcellerie et de rites ancestraux), de grands et superbes tirages noir et blanc et pas de légende. Pour laisser une part de mystère, nous explique le photographe, et que chacun ait son
Hackers vaillants Comment envisager la fin du capitalisme ? C’est l’une des questions que pose le collectif Rybn.org dans son exposition Capitalismsxit. L’expo est à venir à La Compagnie, lieu de création de Belsunce qui s’est quant à lui donné pour vocation d’« esquisser des futurs insoupçonnables ». Oui,
Rebattre les cartes Au-delà de son ambition manifeste, la nouvelle exposition du Mucem, Une autre histoire du monde, se révèle tout aussi cruciale alors que les guerres font rage dans l’actualité. Par le biais de cette exposition, le visiteur se voit interpellé, invité à franchir le
Déraciné·es, des ailes Les Visions d’exil représentées par le festival de l’association l’Atelier des Artistes en Exil continuent de se projeter à Marseille, Paris, Lyon et Toulouse. Au programme : expo à la Ruche K, projections, danse, performances, musique… Les évènements courent jusqu’au 24 novembre, tandis que
Où et quand ? jusqu’au 22/12 au Cipm (Marseille, 2e) Pourquoi on y va ? Pour découvrir comment le duo propose une écopoétique construite en trente-cinq ans d’écriture photographique et textuelle. Travaillant conjointement « sur et dans le paysage », Brigitte Palaggi et Olivier Domerg créent en déjouant les attendus
Où et quand ? du 10/11 au 14/01 au Metaxu (Toulon) Pourquoi on y va ? Pour aller se jeter dans les abysses et (re)découvrir que la (sur)vie est possible quand on plonge très profond, ou bien en rencontrant le bestiaire qui les peuple. Dans cet atelier-galerie toulonnais
Points de vue, images du monde Treizième édition, vingt-deux lieux, plus de cent photographes qui gagnent en visibilité, plus de quarante événements (expos, rencontres, projections, masterclasses
« Une Renault 12, c’est comme ta mère, elle ne t’oubliera jamais »
Tissu social La nouvelle exposition du Mucem, Fashion Folklore, jette un regard inédit sur la haute couture en questionnant ses influences régionales et folkloriques. Une exploration de l’interaction fascinante entre les vêtements traditionnels et la création contemporaine. Alors que le soleil n’en finit plus de chauffer les
En roues libres Parallèlement à l’ouverture du salon Art-o-rama, la Friche la Belle de Mai accueillait pour la seconde fois les diplômés en art et design des Beaux-Arts de Marseille, pour une exposition collective dense et engageante : Drift - Dérapage contrôlé. Cet évènement qui clôture leur
La Belle d’été La Friche la Belle de Mai a ouvert son cycle d’été avec quatre nouvelles expositions, dont deux présentent les travaux d’artistes du cru, de la ville, voire du quartier. Au quatrième étage, Ni drame ni suspense (les conditions de la durée) fait étape
Le Van du renouveau À Arles, la Fondation Van Gogh a pour habitude de proposer des expositions d’œuvres et d’artistes qui succèdent à son illustre peintre, en des échos astucieux à ses œuvres. En ce moment et jusqu’en automne, Action, Geste, Peinture : Femmes dans l’abstraction, une
Pinceaux de l’ange La culture comme source d’émancipation et d’avant-gardisme, c’est l’angle choisi par l’exposition Baya. Une héroïne algérienne de l’art moderne pour traiter de cette artiste aux multiples facettes. À travers trois salles richement documentées, nous explorons à la fois l’évolution et les thèmes de
Servières trois pièces Lors de la quinzième édition du Printemps de l’Art Contemporain, de nombreux musées, galeries, ateliers et autres sites patrimoniaux ont pris part à l’aventure pour ouvrir de nouvelles expositions où il fait bon de flâner au printemps… À cette occasion, dans le quartier de
La route des Roms Dans l’optique de présenter la culture romani sous un nouvel angle, l’exposition Barvalo retrace en deux parties l’histoire de différents groupes et leurs représentations au fil des siècles. Il s’agit d’aller au-delà des stéréotypes et persécutions, de découvrir la notion d’appartenance à
Prof d’anglais et coursier à vélo à Marseille, Rory Launder livre son regard sur la ville tout en vous donnant une occasion de réviser votre anglais. Dans ce nouvel épisode, il part à la rencontre de la Fédération Artistique de Marseille, qui produit le PAC
40, rue Sainte : une porte d'immeuble encadrée de plaques professionnelles, parmi lesquelles : « Galerie Zemma ». Ne pas chercher une étymologie savante, c’est un acronyme. Dans un ancien gymnase, une galerie d’art contemporain créée en 2016 par Marc Ragouilliaux. En huit ans, cet ancien consultant, artiste
Loïse Bulot explore le mnésique, le fantastique et le surréaliste. Son travail visuel et sonore emprunte des fragments au quotidien qu’elle dessine ou colle comme des mémentos importants : ceux sur le frigo, ou notés en rouge sur un calepin. Sauf que ce qu’elle note en
Très bonne question. Mais qui ça ? C’est la restitution d’un projet commencé 2021, suivant une propension à créer plein de personnages, avec récits et identités. Artiste visuel et performeur, Julien Carpentier bat chaudement les pavés des galeries et de nombreux ateliers marseillais. Objets-sculptures, costumes déconcertants
Un mec tout seul veut loger tout le monde à la même enseigne. Ça commence comme une blague, pour finir comme un gros kiff bien réel. Sasha, Sasha2000 en version amplifiée, organise des fêtes accessibles et fantastiques, où c’est pas cher, et où les artistes sont
En plein quartier des galeries d’Aix, rue Jaubert exactement, s’en trouve une qui toque à l’œil. Ars Longa, avec son nom emprunté à la formule hippocratique qui balance « l’art long » contre la « vie brève », a ouvert grand sa porte et large vitrine ferrée il y