Trois jours, trois parcours, trois quartiers à vivre sans a priori ni modération, en glanant d’expositions en vernissages, ce de quoi l’art actuel est fait : en route pour la sixième édition du Printemps de l’Art Contemporain.
Pour le Festival des Arts éphémères, les pelouses du parc de Maison blanche se couvrent d’œuvres pour offrir un voyage dans le pays merveilleux… de l’art contemporain.
La Fondation Vasarely accueille une exposition collective, à l’initiative de Fanny Serain et Djeff, questionnant la notion de Laps, cet intervalle de temps qui ne peut se conjuguer au présent.
Des photographes triés sur le volet par le magazine Compétence Photo se sont prêtés au jeu du cadavre exquis, répondant à une photographie par la création d’une nouvelle image. Le résultat est à découvrir à la Fontaine Obscure.
L’association L’art prend l’air présente la flamboyante Marseillaise Judith Bartolani, dont les œuvres, à la fois colorées et empreintes d’une certaine gravité, viennent prendre une dimension quasi sacrée au sein de l’espace magistral qu’est la Chapelle des Pénitents bleus, à La Ciotat.
Encore méconnu, le monde sous-marin se dévoile à travers deux cycles, l’un à la Villa Méditerranée, l’autre au Muséum d’Histoire Naturelle : une plongée en eaux profondes.
Pour fêter dignement son vingtième anniversaire, Astérides se fend d’une publication retraçant son histoire, et rassemble, avec l’exposition Pop-Up, une vingtaine d’artistes qui ont marqué son aventure.
Dernière création aux Carrières de Lumière des Baux de Provence, le Vienne de Klimt revisité par le trio Iannuzzi, Gatto et Siccardi tient toutes ses promesses.
Duo d’architectes, Delphine Borg et Billy Guidoni s’affranchissent des figures imposées avec leur collectif We Are Not From Kalamazoo, cherchant à donner un second souffle à Marseille via des projets urbains alternatifs.
Qui a dit que la qualité résidait dans la rareté ? Avec pas moins de treize expositions, les Rencontres du 9e Art tendent à prouver le contraire… Suite et fin de notre exploration aixoise : focus sur l’œuvre du magicien Alan Moore, dérive dans le
Pour ses dix ans, le collectif Human E.T crew nous prépare une invasion bass music de haut vol sur la planète Mars avec la troisième édition du festival Enjoy : une exploration dans les méandres de ce genre musical non identifiable. Embarquement.
Depuis l’arrivée de la nouvelle direction et l’année Capitale, la Friche La Belle de Mai s’aménage, réaménage, s’organise et s’ouvre. Tour d’horizon de la dixième édition de Made in Friche et de ses artistes, sans qui tous ces équipements culturels rénovés seraient des coquilles vides.
Avec deux de ses nouvelles expositions temporaires, le MuCEM nous emmène à la découverte du Maghreb. Celui d’hier, via les bronzes antiques de Volubilis, et celui d’aujourd’hui, à travers Des artistes dans la cité, qui propose un voyage dans l’actualité complexe de la société marocaine.
Le Château Borély, c’est décidément the place to be. Le musée se partage entre Mars en Baroque et le Printemps du BNM en accueillant deux expositions éphémères, raffinées et décalées.
Ecrire le réel. Documenter la vie par le spectacle. Ouvrir des scènes, des salles, des espaces comme autant de tribunes pour l’expression d’une voix : celle des vivants. Leurs quotidiens, leurs cheminements, leurs idées, leurs doutes, leurs cultures… Telle est l’essence de la Biennale des
C’est déjà le printemps pour le Ballet National de Marseille ! Mathilde Monfreux a ouvert le bal du festival avec sa dernière création, Last Lost Lust : un voyage à la verticale entre retour à l’origine et esthétique contemporaine dans le tourbillon de la matière.
L’exposition consacrée à l’architecte Rudy Ricciotti, conçue par la Cité de l’Architecture et du Patrimoine à Paris, fait escale à la Friche de la Belle de Mai. Un sujet haut en couleur pas évident à dépeindre.
Premier artiste condamné pour obscénité aux Etats-Unis, Mike Diana n’a pas pour autant abandonné son œuvre et expose en ce moment au Petitrama de la Friche, à l’initiative du Dernier Cri. Décryptage de cet univers underground et de son auteur, un « teenager » qui
Via le festival Phot’Aix, la galerie Fontaine Obscure livre un voyage visuel et esthétisant à travers la Méditerranée.
Après une première édition réussie, le Design Tour revient à Marseille en se partageant cette année le terrain avec les Med Design Days, organisés par la Chambre de Commerce et d’Industrie. En voilà deux qui se sont bien trouvés.
Jeune artiste autodidacte au talent incontestable, Cœur expose son bestiaire sur les murs de la Road Art Gallery. Des animaux de papier aux regards intenses, fascinants.
Sous la houlette de Sextant et plus, des lycéens se mettent dans la peau de médiateurs culturels le temps de l’exposition de l’Atelier Van Lieshout à la Tour-Panorama de la Friche. Une nouvelle façon de « voir », entre approche pédagogique et initiation artistique.
Au Studio Fotokino, l’exposition Nature nomade du touche-à-tout Isidro Ferrer est traversée d’une délicieuse poésie enfantine.
A travers Le Corbusier dans Le Corbusier, le photographe Cristophe Guery livre, au cœur même de la Cité radieuse, plusieurs clichés attestant notamment de la pérennité iconographique des constructions édifiées par le maître aux lunettes rondes.
Paysages post-apocalyptiques, portraits d’hier et d’aujourd’hui, trompe-l’œil numériques… Pour sa troisième édition, le festival La Photographie_Maison Blanche déploie ses images aux quatre coins de la ville afin de mettre en lumière de jeunes artistes aux côtés de photographes de renom — l’immense Robert Frank cette
Si d’ordinaire, les vacances scolaires riment souvent avec désert culturel, les prochaines échéances de la Toussaint promettent un feu d’artifice de propositions artistiques avec l’un des derniers temps forts de l’année « Capitale », Cahier de Vacances, consacré au jeune public.
L’exposition Albert Camus, citoyen du Monde, qui connut de grandes difficultés à voir le jour, est devenu un événement pluridisciplinaire, au sein duquel l’Institut de l’Image propose notamment une programmation cinématographique de haut vol, en lien avec l’auteur.
Figure emblématique de l’histoire de l’urbanisme et de l’architecture à Marseille, Le Corbusier se voit offrir une place d’honneur pour la réouverture du J1 avec une exposition fleuve sur la Question du Brutalisme, brute de décoffrage.
Dans le cadre des Rencontres à l’Echelle, le photographe Bruno Boudjelal expose à la Friche une partie de ses carnets de voyages à travers une Algérie complexe qu’il a redécouverte.
« Le design est partout, tout est design ». Partant de ce postulat, l’association Le Showroom a inventé un parcours afin d’éclairer les voies « insoupçonnées » du design d’avenir à Marseille en prenant la mer comme source d’inspiration. Explications.