Et par Marseille, on entend toute la fine fleur marseillaise de la culture graff, en plus du gros clin d’œil à une rengaine parmi celles qui ont valu le disque d’or à la FF (la Fonky Family pour les néos). La journée est titrée d’après
Parc d’attractions Inutile de présenter Marsatac, qui fera son grand retour comme l’année dernière au sein du vaste parc Borély, et qui une fois de plus a mis la barre très haut. Retour sur une programmation éclectique, qui fera vibrer la cité phocéenne pendant trois jours
Guilhem Gallart, aka Pone, beatmaker et ancien rappeur prolifique bien connu comme producteur de la Fonky Family, a plus de trois mille titres à son actif. Depuis 2014, il est atteint de la maladie de Charcot — ou sclérose latérale amyotrophique (SLA) — ce qui
13 ensemble Depuis la rentrée, le projet collaboratif 13’Organisé truste la première place des charts, permettant à Marseille de redevenir la capitale du rap hexagonal par la grâce d’un palmarès vertigineux : single de diamant le plus rapide de l’histoire de la musique française, single de
En plein âge d’or Bob Lunet ? Cinq jeunes ambitieux qui défendent un rap humblement qualifié de « wrap », le « wrong rap ». À traduire littéralement. Un melting-pot. Un fourre-tout dans lequel se dessine aussi bien le travail de leurs pères (IAM, Fonky Family, Scred Connexion) que d’autres influences plus
Le fil rouge Marsatac met le feu aux poudres en dotant cette dix-neuvième édition estivale d’une programmation en camaïeu rubicond. Après un dix-huitième opus plus que réussi à La Friche, l’association Orane revient en force avec deux changements de taille : saison et lieu. On le retrouve
Celui qui a débuté comme Dj de la Fonky Family il y a plus de vingt ans, en 1994, et que l’on a pu croiser sous différents pseudonymes (Djel donc, mais aussi Diamond Cutter, Ali.Wood, Djel.Ali ou encore Djezzy) vient présenter son premier album dans
Fonky by nature Quelques semaines seulement après sa prestation à l’Espace Julien avec la Fonky Family, reformée à l’occasion d’un concert de soutien à leur ami Pone, Djel revient faire son show, en solo cette fois, à la Fiesta des Suds, pour donner un avant-goût de
« 2600 ans d’histoire derrière nous, et la France nous traite toujours comme une poubelle. J’en ai assez de voir ma ville humiliée », scandait IAM en 1991. Vingt-cinq ans plus tard, la maison d’édition marseillaise