L’enjeu des criques À force d’histoires enlisées dans les méandres de la politique marseillaise et autres inconvénients quotidiens liés à la métropolisation de notre territoire, on en vient parfois à oublier ce pourquoi on est venus s’installer ici — et/ou pourquoi on y reste : nos chères
Nouveaux mondes Moment suspendu dans l’été marseillais, le MIMI Festival ne déroge pas à sa règle et déroule cette année encore, depuis les Îles du Frioul, la Friche, l’U.Percut et le Pic-Télémaque, une programmation aérienne pour pousser les murs de la baraque. Et voilà. C’était prévu. Une
Nature et découvertes Où l’on retrouve l’agence de web design spécialisée dans la biodiversité Natural Solutions pour une petite virée sur les eaux de la Méditerranée, afin de rejoindre l’Archipel du Frioul et d’en découvrir tous les trésors… Lieu homogène pour la faune et la flore qui
Le grand mérite du livre de Jean-Louis Spieser est de jeter un éclairage nouveau sur un pan peu glorieux de l’histoire marseillaise : les camps d’internement des îles du Frioul. On connaissait déjà l’excellent travail de Jean-Claude Farcy sur les camps de concentration français ((Jean-Claude Farcy
La parenthèse enchantée Pour sa trente-et-unième édition, l’incontournable festival MIMI reste fidèle à la formule qui a fait sa renommée, à la fois dans son format et dans sa programmation toujours aussi éclectique, inventive et résolument en dehors des grand canaux commerciaux. C’est l’un des événements majeurs
Les écorchés vivent Le peintre marseillais Jean-Michel Moigno prépare une exposition qu’il installera au large de Marseille. Direction le Tapaloca, sur la place du marché du Frioul. Jean-Michel Moigno vit dans son atelier dont l’entrée est dissimulée, fondue dans un immense graffiti qui recouvre le mur en
Joyeux Border Pour Borderline, collectif marseillais organisateur de soirées insolites, la fête est partout, surtout là où on ne l’attend pas. Et si on n’avait plus besoin de clubs pour faire la fête ? C’est l’idée de Borderline, le collectif marseillais qui organise des soirées un peu partout
On imaginait qu’avec les coupes budgétaires post-Capitale Européenne de la Culture, on aurait droit à une année proche du néant. Mais force est de constater que chacun tente, bricole, invente. Ou mieux encore : se renouvelle. Localement parfois, se réajuste, souvent… Et le festival MIMI
La ville « fausse et haine », selon l’expression de Cédric Fabre, anthologiste du recueil Marseille Noir, se livre ici sous toutes ses coutures : de l’Estaque au Vieux-Port, de la Joliette à la Plaine, de la Belle de Mai au stade Vélodrome, en passant
Marseille, dans mille ans, c’est maintenant ! Toujours mené par Stéphane Sarpaux, le Off n’a pas dit son dernier mot. Et après l’année de la culture, Marseille 3013 met la politique à l’honneur.
La vingt-huitième édition du MIMI pourrait, en parcourant le programme d’un œil, sembler moins fringante que celle, exceptionnelle, de l’an dernier… Que nenni ! Car le festival ne manque pas d’explorer, une fois encore, toute une tripotée de mondes fascinants.
En juin, le OFF se pose sur les îles du Frioul pour y installer le festival P.H.O, visant à réinventer la cité phocéenne. Explications.