La Gare n’en est pas à son coup d’essai quant aux prog’ rock (et autres) ultra qualitatives. Il est même déjà arrivé que nous cherchions un endroit où crécher dans le joli coin juste pour y voir un concert (des Psychotic Monks, qu’on aime à
Le Cabaret Aléatoire nous surprend avec une programmation de plus en plus osée en invitant cette fois Zombie Zombie. Si vous ne connaissez pas ce talentueux trio, empressez-vous d’écouter son dernier album, Livity. Le groupe pioche dans le cinéma d’horreur pour créer un son électronique,
Les décennies 2000 auront vu déferler des affiliations certaines pour les esthétiques rock indé des années 60/70 et avec elles, les turbines allemandes, la psyché folk, les drones et d’autres pratiques plus occultes encore. À Marseille, un solide noyau de jeunes passionnés a pris les
Sorte de Big Four français du math rock, la Colonie de Vacances scelle la collaboration entre Marvin, Papier Tigre, Pneu et Electric Electric. Le concept : chaque groupe est disposé dans un coin de la salle. Le résultat : « un match de ping-pong sonique », de puissantes incartades
Certains les auront croisés en compagnie de La Colonie de Vacances, d’autres les connaissaient déjà, d’autres encore n’ignorent pas leur réputation d’agitateurs de tout ce qui se fait de plus ardent du côté du math-krautrock hexagonal. Là où les autres savent que tout ce que
Musiques parallèles pour sentiments perpendiculaires se veut être une colonne de chroniques d’albums récents. Des coups de cœur soniques que j’ai envie de partager avec vous. "En tant que musicienne, je suis intéressée par la nature sensuelle du bruit, sa puissance de synchronisation, de coordination, de
Échappés de Sourdure/Kaumwald, France, Toad ou encore La Tène, Tanz Mein Herz est l’allégorie même du supergroupe bien membré qui assemble en son sein des activistes de La Nòvia et du label « handmade » Standard In-Fi. Si la monture a pu être remaniée au fil des années, ils
Trio instrumental bien trop enfoui, France est à l’initiative du couplage singulier concordant l’Ouest allemand d’autrefois et le Massif Central d’aujourd’hui. Concerné par les champs vibratoires et membre du collectif La Nòvia, Yann Gourdon, l’homme à la vielle à roue amplifiée, vient colorer la section
En sus de leurs nombreux projets respectifs (entre autres : folk ambient avec Moondawn, carrément plus noise via Ohmodron), les activistes (marseillais) rock (au sens large donc) Pedro Lopez et Nicolas Debade développent (avec Mathieu Aimon à la batterie) de belles turbines, épaisses mais aériennes, non sans
La parenthèse enchantée Pour sa trente-et-unième édition, l’incontournable festival MIMI reste fidèle à la formule qui a fait sa renommée, à la fois dans son format et dans sa programmation toujours aussi éclectique, inventive et résolument en dehors des grand canaux commerciaux. C’est l’un des événements majeurs
Dixième édition des Nuits Zébrées plus éclectique que jamais. Batida « réinvente la musique angolaise des 60’s/70’s à travers les rythmes endiablés du Kuduro ». Plus couru dans nos pages, le duo de krautrock aérien et analogique Zombie Zombie présentera son nouvel ep Slow Futur, tandis que
Sur la bonne voix Le temps d’une soirée d’hiver, les Demoiselles du Cinq, dans la lignée de leur programmation haut de gamme, nous font trois propositions atypiques : les Statonells (consultez nos archives), Dahu, trio expérimenté et insatiable, et Fernand Fernandez, artiste poète, performer et plasticien.
Inutile de présenter ce groupe pionnier. Entre électro/techno industrielle, krautrock et synthpop, le quatuor allemand se frotte désormais à l’exercice du concert-concept 3-D. C’est donc à une sorte de performance quasi-cinématographique à laquelle le public est invité. Jusque là, c’est plutôt raccord avec leur musique,
Très loin des discours qui théorisent la musique, les deux gars de Pneu disent aimer quand ça fait « boum boum » et « tak tak ». La preuve lors de concerts puissants, toujours sous pression, que ce soit au sein de La Colonie de Vacances avec Marvin, Papier