Allez, on en remet une petite couche sur la Mesón, parce qu’une quinzaine sans visiter l’antre de la douceur sonore est forcément plus fade. Elias Dris, c’est ce (très) jeune chanteur de folk franco-américain qu’on a découvert dans cette même salle avant la grosse grippe,
Lucie enflamme ! Femme baguette, elle guette le rythme. Assume son amour percussif, si fort qu’il est communicatif. Hâtifs, ses rythmes et loops de machines, voix et instruments électrisent un set pourtant porté à bout de bras, les siens et ceux de ses deux acolytes de
Nez creux lorsqu’il s’agit de révélations musicales, la petite salle aux multiples casquettes de la rue Consolat se fend d’une « reprise » rafraichissante. Au-delà de son expertise flamenca, elle se fait souvent tremplin des talents de demain. Elias Dris, c’est ce (très) jeune chanteur de folk
Ça Yeah ! Nous allons enfin pouvoir nous délecter des talents de programmation du festival de notre Lolo national (Laurent Garnier) & Co. Inconsolables suite à l’annulation des deux dernières éditions, ils nous offrent avec cette capsule d’un soir l’espoir d’une jouissance musicale retrouvée. Émancipée, l’équipe