Pourquoi on y va ? Pour voir les nouvelles interprétations que l’artiste illustrateur Jesús Cisneros donne à l’intrigue et aux personnages de l’une des dernières pièces shakespeariennes, qui donne son nom à l’exposition. Avec un rendu balançant entre des sensations d’art brut, d’artisanat ou d’art
Pourquoi on y va ? Parce que l’an passé, on avait été conquis par l’inventivité et l’esthétique de certains Cadavres exquis proposés par ce collectif ô combien dynamique, convivial et créatif ! Au vu du thème de cette année, on est d’autant plus curieux de découvrir
Archimed Le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée fête ses dix ans. Une décennie durant laquelle se sont succédé des expositions mettant en lumière les cultures méditerranéennes et s’appuyant sur une collection d’un million d’objets et documents. Mais durant un week-end, c’est le
Philo trois couleurs On la voit au quotidien ou presque, sur le fronton des écoles et des mairies, sans y prêter vraiment attention. Polysémique à plus d’un titre, la devise républicaine est au cœur de la quinzième Semaine de la Pop Philosophie, transformée pour l’occasion en
Joliette je t’aime « Née d’un collectif de voisins agissant et vivant dans le quartier », la Biennale de la Joliette joue la carte de la singularité à travers une pluralité de propositions culturelles et artistiques destinées à (re)découvrir ce territoire emblématique de la métamorphose marseillaise. Dans un entretien
Vivre livres Agoras de proximité où circule la parole et où s’invite la réflexion, les librairies indépendantes de la Région PACA, réunies sous la bannière de l’association Libraires du Sud, nous invitent à passer un « Automne en librairies ». Winter is coming, ou presque. Et après avoir tourné
Le geek, c’est chic Massilia Geek est un jeune festival dédié aux cultures populaires. Après deux éditions, dont une plombée par le Covid, dans le quartier Vauban, la saison 3 s’installera dans le World Trade Center Marseille Provence avec pour ambition de changer de dimension. Dans
Et par Marseille, on entend toute la fine fleur marseillaise de la culture graff, en plus du gros clin d’œil à une rengaine parmi celles qui ont valu le disque d’or à la FF (la Fonky Family pour les néos). La journée est titrée d’après
L’émo bleu Kid Francescoli se livre et nous enivre une fois de plus avec son album Sunset Blue, qui retrace son parcours d’homme et d’artiste tout en ouvrant la voie à de nouveaux horizons musicaux. Voyage dans une machine à remonter le temps et à raviver
Contre toute attente, le Makeda invite ce groupe aux sonorités assez éloignées de ceux programmés habituellement : belle surprise ! Comme son nom l’indique, Pogo Car Crash Control invite tout naturellement au défoulement. Les Parisiens, après trois albums et un EP, se sont forgé un style
Ce n’est pas tout à fait la rentrée à la Mesón, qui a comme chaque année rouvert ses portes dès septembre aux novices et spécialistes du flamenco. Mais pour ainsi dire, il nous tardait de retrouver l’intime salle de la rue Consolat. Nos innombrables lecteurs
Nichée dans la discrète rue Chape, la Maison du Chant valorise les pratiques vocales sous toutes leurs formes. Comme à chaque automne depuis vingt ans, le festival De Vives Voix propose pendant un gros mois rencontres, expositions, masterclasses… amplifiant ainsi les nombreuses voies du chant. Le
Créé en 2018, le festival October Lab sculpte des ponts musicaux entre les styles, les origines et les folklores. Et ça tombe à PIC ! Comme le dit Raoul Lay (chef d’orchestre et directeur de l’ensemble Télémaque) en évoquant l’explosion d’Internet et des réseaux, « à quelque chose,
On ne va pas bouder notre plaisir de revoir le groupe dans une petite salle du centre-ville de Marseille. Promiscuité, moiteur, houblon — la sainte trinité des concerts de rock / punk (et affinités) : la proximité a du bon. Frustration, qui vient de fêter ses
La trente-deuxième édition de la Fiesta des Suds vient de s’achever. Un hommage tout en cavalcade a été rendu à Bernard Aubert, son fondateur visionnaire, sur le Vieux-Port. Marseille et la Fiesta lui devaient bien ça. Le temps d’un clin d’œil, on regarde la mer,
L’éveil des sens L’automne approchant et les vacances scolaires avec, le festival jeune public des arts de la marionnette et de l’objet En Ribambelle ! revient pour une dixième édition qui animera l’ensemble du territoire pendant les congés de la Toussaint, et au-delà. Et comme la jeunesse,
Le tomber de rideau est imminent pour Actoral, au moment même où le festival et son organe se font expulser de la maison-mère, Montévidéo, après des mois de négociations infructueuses auprès des propriétaires. À partir du 14 octobre, c’est une autre intrigue qui se mettra
Serge Valletti est un fin connaisseur de Shakespeare. Déjà en 1977, dans Just Hamlet, il imaginait une Ophélie rêvant que le fameux Prince du Danemark se noyait avant elle. Ce n’est donc pas un hasard si, en 2011, le comédien Patrick Pineau lui passait commande
Elles ne sont pas légion, les compagnies de spectacle vivant, à pouvoir revendiquer une telle longévité. Voilà donc quatre décennies que Générik Vapeur fait de l’espace public son terrain de jeu favori, trempant dans le « trafic d’acteurs et d’engins » avec une énergie rock jamais démentie.
Avec leur titre plein de second degré, le chorégraphe Michel Schweizer et le danseur hip-hop et acrobate Mathieu Desseigne-Ravel prennent « le fil barbelé comme fil conducteur », mûrissant là une suite limitrophe, entre théâtre, danse et conférence, de la pièce qu’ils avaient créée pour le in
Voyage ACID Les cinémas La Baleine et Le Gyptis de Marseille nous invitent cette année encore à découvrir les belles pages cinématographiques du dernier Festival de Cannes, avec la reprise en salles de la sélection de l’ACID, soient six films de toute beauté. La tendance se confirme
Après la soirée de lancement au Couvent de jeudi soir où on attend trois formations musicales (globalement art rock fusion), on pourra passer le week-end à flâner entre les soixante-huit portes ouvertes d’où s’échappent couleurs et rumeurs des œuvres plastiques, vivantes ou numériques, de l’hypercentre
Ne souriez pas, vous êtes filmés ! La seconde édition d’une manifestation essentielle pour nos droits élémentaires investit divers lieux de la cité phocéenne du 28 septembre au 1er octobre : le Festival Technopolice ouvrira, au travers de projections, rencontres, ateliers et balades, de nombreuses pistes de réflexions sur
Intimes convictions L’incontournable structure Peuple et Culture nous propose, du 27 septembre au 8 décembre à Coco Velten, un programme de huit films sélectionnés lors d’ateliers de programmation : une autre manière, bien plus enrichissante, de mettre en œuvre collectivement les résonances filmiques. De nouvelles pratiques se
Mille et un gestes Le Centre de Conservation et de Ressources du Mucem fête ses dix ans avec l’exposition La Vie secrète des collections à la Belle de Mai. Une occasion formidable de mieux comprendre comment s’articule et se conçoit l’immense collection du musée des civilisations. Constituées
Existe-t-il un futur désirable ? À en croire de nombreuses fictions qui peuplent les rayons des librairies et tous nos écrans, la tendance est plutôt à la dystopie. Ce que ne contredit pas l’inquiétante marche du monde, entre dérèglement climatique alarmant, crises migratoires appelées à se
C’est un petit ruisseau irrégulier, parfois souterrain, souvent pollué. Plus étonnant, c’est aussi un fleuve, puisque son parcours de dix-sept kilomètres, qui prend sa source au nord de Marseille, à Septèmes-les-Vallons, s’achève dans la Méditerranée, sous les tours CMA-CGM qui dominent le grand port de
Décidément, l’automne sera placé sous le signe du vivant ou ne sera pas. Formidable territoire de biodiversité, le Parc National des Calanques « recèle d’éléments qu’il nous est difficile d’observer : fonds sous-marins, vie nocturne, faune et flore infiniment petites, mais aussi histoire, culture et légendes… » Pour la
« Une Renault 12, c’est comme ta mère, elle ne t’oubliera jamais »
Élise Vigneron occupe une place à part dans le paysage théâtral français. Peut-être de par sa formation initiale en arts plastiques (à Aix-en-Provence). Sans doute parce qu’elle s’adonne à une discipline — les arts de la marionnette — qui véhicule encore une image un peu