Stéphane Le Mercier – Séjours dans la maison du passage à Vidéochroniques
Chez Vidéochroniques, l’exposition Séjours dans la maison du passage de Stéphane Le Mercier questionne les notions d’auteur, de gestes et de mots, entre mutisme et éloquence.
Chez Vidéochroniques, l’exposition Séjours dans la maison du passage de Stéphane Le Mercier questionne les notions d’auteur, de gestes et de mots, entre mutisme et éloquence.
En écho à la programmation du film Ramallah de Flavie Pinatel à la Villa Méditerranée (Festival Parallèle), les Films de Force majeure proposent, à la Galerie des Grands Bains Douches, une installation vidéo qui traite aussi de la (dé)colonisation. Al-Djezaïr évoque celle dont nos manuels
A la manière de Gabriel Orozco avec sa « discrète » boîte à chaussure, Eric Hattan surprend les visiteurs du FRAC avec un jeu de piste en trompe-l’œil.
Pour la première fois, des manuscrits originaux de Tombouctou s’offrent au regard du spectateur français. L’exposition présentée à l’Alcazar est une occasion unique d’explorer l’Afrique comme civilisation de l’écrit.
L’Autoportrait reçoit Roland Roure, figure de l’art brut, qui enchante tout l’espace de ce lieu atypique avec ses sculptures poétiques.
Les Quatre Saisons d’Espigoule, film culte s’il en est, c’est lui, Christian Philibert, cinéaste remarquable et atypique dans un paysage cinématographique hexagonal bien souvent formaté. Douze ans après son dernier long-métrage, l’excellent
En février, le MuCEM consacre une programmation protéiforme (cinéma, théâtre, musique, BD, photo, littérature) aux convergences existant entre Marseille et Alger. Avec une programmation cinéma laissant la part belle à la jeune création indépendante.
L’équipe du Polygone Etoilé ouvre son écran à Pascal Convert pour la projection de deux films exceptionnels consacrés au résistant Raymond Aubrac.
Depuis 2006, le collectif Komm’n’Act prend le pouls de la jeune création internationale et des nouvelles formes d’écriture scénique via les Rencontres parallèles. Après avoir soigneusement évité la cacophonie « Capitale », le désormais Festival Parallèle articule sa programmation autour de soirées composées mêlant découvertes
Huit ans après sa création, Hubert Colas reprend le triptyque Face au mur de Martin Crimp sur le Plateau de la Friche ? Un portrait grinçant d’une société obsédée par le tout sécuritaire et la peur de l’autre.
Olivier Gomel a quarante ans et un sourire exceptionnellement pur qui lui en fait paraître dix de moins. Dans la rue d’Aubagne, il pousse les murs de son minuscule lieu de 35 mètres carrés, l’Asile 404, pour accueillir toujours plus d’utopies. Musicales, performatives ou plastiques,
Entre résistance et passion, les librairies indépendantes marseillaises ne sont pas près de tourner la page.
A la Friche, l’exposition No Fear, No Shame, No Confusion met à l’honneur quatre artistes contemporains — parmi lesquels la dernière lauréate du prestigieux prix Turner, Laure Prouvost — dont les démarches entrent en résonance. Une invitation aux liens fortuits et au regard décomplexé.
A La Compagnie, l’exposition L’Anti-Atlas des Frontières navigue entre art et sciences pour faire bouger les lignes et mettre en avant le non-sens de la géopolitique moderne.
La Maison de l’Artisanat et des Métiers d’Art fête ses trente ans avec une exposition autour des thèmes du fétichisme et de l’idolâtrie à travers les civilisations.
Due à la complicité entre la galeriste Karima Celestin et l’artiste Félix Pinquier, dont les œuvres vrombissent en silence, Mute est une exposition tout en nuances.
Alfons Alt expose quelques feuilles volantes dans l’écrin apaisant de la maison des Editions Parenthèses. Aux portes de la photographie expérimentale, rencontre avec le cyanotype.
Le cinéaste marseillais a réalisé de savoureuses comédies sentimentales mélancoliques et décalées. Il s’essaye aujourd’hui au drame avec Une autre vie. Rencontre.
L’Alhambra ouvre sa salle aux jeunes réalisateurs de la promotion 2014 du master Métiers du film documentaire de l’Université d’Aix-Marseille, pour quatre films de création à découvrir en avant-première.
Début février, le Festival international du Film des Droits de l’Homme en Provence s’installe à Aix, Grans, Gignac, Salon et Marseille afin de proposer un panorama cinématographique des différentes luttes pour la reconnaissance de la dignité humaine.
La Criée s’associe au Festival International du Court-métrage de Clermont-Ferrand et invite le spectateur curieux de nouvelles formes cinématographiques à découvrir la crème des réalisateurs en matière de courts.
Au rayon des bilans sur l’année Capitale, il y a les « pour » les « contre », les ravis et les déçus, les sceptiques et ceux qui ne se prononcent pas. Mais il y a surtout différentes approches. Regard subjectif sur la programmation ou
Si MP 2013 a su, à grands coups de rénovations urbaines, attirer les touristes et ravir une grande partie de la population, tous les acteurs culturels locaux n’ont pas vécu 2013 comme une année faste.
Un projet pour les zones?« sensibles » en rénovation urbaine : telle était la raison d’être des « Quartiers Créatifs » de MP 2013. Censée associer habitants et artistes autour de projets culturels participatifs, l’opération affiche un bilan mitigé, malgré les centaines de milliers d’euros
Ce ne sont pas que des collines qu’il a fallu déplacer pour que Marseille soit enfin nimbée de dignité, si ce n’est de lauriers. Tour d’horizon de ce qui s’en est dit dans la presse, du localier à l’international, sur l’année Capitale.
Ils avaient largement anticipé la Capitale (dès 2004 !) ; il était donc logique qu’ils ne tirent pas le rideau à la fin de l’année. Les joyeux agitateurs du OFF embarquent pour une nouvelle aventure autour des paradoxes marseillais, afin de « faire émerger de
Décembre 1912, L’Annonce faite à Marie est mise en scène pour la première fois. Décembre 2013 : Yvan Romeuf et la compagnie l’Egrégore s’emparent du « mystère » de Paul Claudel. Résultat : du sang neuf mais une impression mitigée.
Tandis que s’achève l’année Capitale de la Culture, l’exposition Regards d’artistes sur MP 2013 est l’occasion de prendre du recul et de faire le point sur les événements passés, et ce qu’il en restera.
A la Galerie des Grands Bains Douches de la Plaine, l’artiste Amina Menia raconte sa vision de deux villes, Marseille et Alger. Entre urbanisme et vision chirurgicale, récit de la naissance d’une exposition.