Est-ce vraiment nécessaire de faire les présentations ? Ci devant Kill the Thrill, groupe emblématique des 90s, référence hexagonale indiscutable en matière de post rock industriel, fait son retour après une décennie de silence. Ses deux membres fondateurs, Nicolas Dick et Marylin Tognolli, ne sont
On a ouï dire qu’au Non-lieu, il faudrait peut-être se rendre très souvent les prochaines semaines. Et pour cause : nos amis tenanciers du petit lieu de la rue de la Palud ont mis la barre haute en organisant pas moins de trois concerts par semaine
La quarantaine rugissante L’éditeur Le Mot et le Reste poursuit son entreprise de réhabilitation du rock phocéen entamée en 2017. Aux manettes de ce second opus, l’un des acteurs majeurs de la scène locale pendant un quart de siècle, le musicien Pascal Escobar, qui a remisé
Savants de Marseille Pour la dernière édition présentée sous cette forme par le GRIM, le Festival Nuit d’Hiver — patte d’oie incontournable des musiques mûrement réfléchies — profitera cette année du couplage salutaire entre le GRIM et le GMEM au début de l’année 2016 : deux collectifs
Virgile Abela et Nicolas Dick (Kill The Thrill) débuteront la soirée en construisant sans répétition ni préparation une musique et un show où s’entrecroisent nappes et boucles sonores. En tête d’affiche : l’Américain Toby Driver (Maudlin of the Well, Kayo Dot), accompagné de Nick Hudson (piano)
Si l’on en sait à ce jour relativement assez peu sur Blond Blond Blond (du « raï funk punk » distillé en Oran et Puget-Ville), cette soirée n’en demeure pas moins attrayante, éclectique mais cohérente : de l’ambient onirique du chanteur de Kill The Thrill au free punk
La grande boucle « Repeat or no repeat ». Ainsi le nouvel adage du festival Nuit d’Hiver introduit-il cette douzième édition à la thématique forte et omniprésente, mais faite d’ouvertures. Du compositeur Moondog, le « Viking de la 6e Avenue », aux musiques d’Auvergne, il n’y avait par exemple qu’un
Ensemble, c’est tout Portée par Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot depuis 1994, la compagnie Ex Nihilo se veut l’expérience en friche d’un travail de profanation de l’acte dansé. Retour sur vingt ans de confrontation du corps au réel, à l’humain, à l’aléa, mais surtout au