Plein phare Pour sa treizième édition, le festival Grands Larges, consacré à la ville portuaire et à l’imaginaire maritime, mêle cinéma, littérature, concerts, photographies ou lectures, avec un programme bien fourni : 52 films, 16 concerts, 38 invité·e·s, 5 expositions, pour multiplier les regards sur la ville
Commencé en septembre avec l’Orchestre Philharmonique du Pays d’Aix et la revisite des Lettres de mon moulin par l’inépuisable Philippe Caubère (à voir jusqu’au 16 octobre à Cassis, Arles, Marseille et Fuveau), le projet « Aller vers » imaginé par les Théâtres de Dominique Bluzet se propose,
Voilà bientôt quarante ans que Philippe Caubère nous sert avec brio sa vie sur un plateau à travers les pérégrinations de son alter ego scénique Ferdinand Faure. Pour lui faire ses adieux (« Il fallait bien que ça arrive… ») et ainsi clore sa monumentale œuvre autobiographique,
Passer son bac en 68 : c’est à l’oral, il n’y a pas d’écrit. Quoi de mieux qu’une scène pour que Ferdinand s’entraine tant bien que mal à passer l’examen mythique tout en nous plongeant dans l’ambiance des préparatifs d’une année non moins emblématique ? Avec ce seul en
Ô diable Caubère ! Plus de trente ans séparent la création initiale de La Danse du diable de sa dernière représentation au Toursky, en janvier dernier. Certes, Philippe Caubère vieillit. Mais pas son spectacle, qui reste d’une richesse inouïe. Les aficionados des aventures de Ferdinand Faure — l’alter