Plein gaz Le Gyptis propose le premier volet d’une programmation consacrée à l’automobile à l’écran, pièce maîtresse d’un genre à part entière, qui a accompagné le cinéma dès ses premiers pas. Développée conjointement à l’industrie cinématographique, l’automobile sous toutes ses formes a figuré dès les premiers films
Tour d’horizon Bien connu du milieu alternatif marseillais, le Collectif 360° et même plus investit le temps d’une soirée le Polygone étoilé pour la sortie de la première édition du DVD cActus, compilant une poignée de films réalisés par cette structure particulièrement dynamique et profondément ancrée
L’ailleurs c’est ici A Marseille plus qu’ailleurs, le quotidien frôle des pans d’histoire de la ville et de France sans s’en rendre compte. Il est des lieux où la mémoire est fragile et tend à disparaître. Telle est l’histoire des Chibanis, à laquelle le film Perdus
Penser les plaies La cité phocéenne accueille un « voyage au cœur de la crise grecque » dans un train de débats, projections et expositions. Au sein de l’Europe, la démarcation budgétaire entre les fourmis du Nord donneuses de leçons et les cigales du Sud qui doivent les suivre
Tout droit sorti de la cuisse du label québécois Constellation, dans la lignée de ses têtes de files (Godspeed You! Black Emperor, Colin Stetson, Do May Say Think…), Jerusalem In My Heart développe une forme audiovisuelle onirique entre chants arabes, field recording et électronique ascensionnelle.
L’opinion publique Pour sa première semaine thématique de novembre, le Gyptis livre un panorama cinématographique consacré aux rôles des médias dans nos sociétés, véritable sous-genre à part entière, sans cesse en mutation. L’univers, souvent impitoyable, de la presse fut très tôt choisi à l’écran comme décor dramaturgique
Sur tous les fronts Le centenaire de la Première Guerre mondiale est l’objet de nombreuses manifestations cinématographiques régionales, de la Buzine à Marseille au Renoir à Martigues, avec une mention spéciale pour le cycle proposé par l’Institut de l’Image d’Aix-en-Provence. Le vingtième siècle s’est ouvert sur un
Accords parfaits Début novembre, à Toulon et ses alentours, le FIMÉ propose huit soirées de haut vol consacrées aux croisements entre musique et cinéma, avec une programmation de ciné-concerts particulièrement savoureuse. Hérité des premiers pas du cinéma, le ciné-concert a fleuri ces dernières années au sein de
Non mais Allio, quoi ! De l’Alhambra à l’Institut de l’Image, en passant par le Renoir de Martigues ou le Méliès de Port-de-Bouc, de nombreuses salles régionales programment actuellement un cycle de trois films consacré à René Allio, l’un des plus grands cinéastes marseillais. L’attention du public et
Bas les masques Le Gyptis, dont l’ouverture a fait grand bruit, entame son activité avec deux cycles bien sentis : « Frissons, derrière les masques » et « Street, vous avez dit street ? ». Nous l’évoquions dans notre dernier numéro, le Gyptis, nouvel écran marseillais situé dans le quartier de la Belle
Satire à vue Quatre jours de rencontres, d’expositions, de projections, de débats et de concerts, Robert Guédigian dans le rôle du parrain : la troisième édition du Festival international de la caricature, du dessin de presse et de la satire de l’Estaque pourrait bien arrimer définitivement
La vingt-cinquième édition du Festival International de Cinéma de Marseille déroule au cœur de la cité phocéenne une programmation à la hauteur de sa réputation : riche, passionnante, pertinente et intelligente. Le fourmillement des propositions ne sacrifie en rien l’exigence de la ligne éditoriale, consacrant
Avec la quatorzième édition de son festival international de vidéo expérimentale Images Contre Nature, l’association P’Silo propose une manière ludique et conviviale de penser le cinéma autrement et s’interroger sur les mécanismes formels de l’image en mouvement.
Après les déconvenues de la mouture 2013, le festival Zones Portuaires revient en force avec neuf soirées de projections et de rencontres qui navigueront entre Port-de-Bouc et La Cité Radieuse pendant tout le mois de juillet.
L’été marque un temps fort au sein des propositions cinématographiques régionales : le foisonnement des projections en plein air, moments de grâce où l’écran fait corps avec les étoiles. Les films se projettent ainsi tout autant dans l’espace urbain qu’en milieu rural, pour le plaisir
Du côté de Martigues, la Cinémathèque Gnidzaz, aux activités passionnantes mais encore trop peu connue d’un vaste public, propose un tour d’horizon des langages du cinéma, à travers la programmation de quatre documentaires de haut vol.
Dans le cadre de la manifestation Cour(t)s-y-vite, en partenariat avec Tilt, une dizaine d’élèves de l’école Bernard Cadenat a concocté, tout au long de l’année, une programmation de films courts.
Fin de saison pour l’équipe de l’Institut de l’Image d’Aix-en-Provence, qui propose en juin et juillet un cycle large, Les Classiques de l’été, au sein duquel le grand cinéaste américain Samuel Fuller se taille, pour notre plus grand plaisir, la part du lion.
Le cinéma Le Méliès de Port-de-Bouc consacre au mois de juin une petite rétrospective à l’immense acteur italien Gian Maria Volontè, figure tutélaire de la production transalpine des 70’s.
Jusqu’en juillet, le Château de la Buzine propose un court cycle cinématographique consacré aux vies de musiciens, avec une large place laissée aux biopics des stars phonographiques, dont la vie s’est reconstruite sur grand écran.
Le Polygone étoilé accueille l’équipe de Peuple et Culture Marseille pour un cycle de projections consacré à l’aliénation au travail et aux mécanismes de déshumanisation qui touchent aujourd’hui tous les secteurs d’activités.
C’est déjà le printemps pour le Ballet National de Marseille ! Mathilde Monfreux a ouvert le bal du festival avec sa dernière création, Last Lost Lust : un voyage à la verticale entre retour à l’origine et esthétique contemporaine dans le tourbillon de la matière.
Gilles Desplanques se paye les deux plus petits espaces d’expo de Marseille (par la taille, mais pas par le talent) : la vitrine du RIAM et la GAD, l’une à deux pas de l’autre. Le quartier Lonchamp sombre ainsi dans les névroses induites par les
Les Quatre Saisons d’Espigoule, film culte s’il en est, c’est lui, Christian Philibert, cinéaste remarquable et atypique dans un paysage cinématographique hexagonal bien souvent formaté. Douze ans après son dernier long-métrage, l’excellent
L’équipe du Polygone Etoilé ouvre son écran à Pascal Convert pour la projection de deux films exceptionnels consacrés au résistant Raymond Aubrac.
Dans une ville mal lotie en matière de diffusion cinématographique, l’équipe de Vidéodrome se lance dans la création d’une nouvelle salle de projection au Cours Julien. Explications
Mars Landing Party Entre vrais artistes et fiction barrée, le film Mars#Melody, qui célèbre les quinze ans de Marsatac, rappelle qu’à Marseille, il n’y a pas que le rap et le hip-hop, mais aussi une très bonne scène électro-pop… qui valait bien d’être mise en scène. Nasser,