La première fois, c’était à la Rue du Rock en 2018 et parmi l’affiche pléthorique, SOvOX, alors en format duo, avait fait grand bruit. Depuis, le groupe, devenu trio, creuse son sillon et le bruit de fond est devenu plus présent. Un premier EP dans
Pour cette année olympique, l’Intermédiaire et le Molotov ont décidé de commencer sportivement dès fin janvier (le 26) avec Magnitude, le groupe hardcore straight edge issu de l’incontournable écurie de Boston, Triple B Records. Puis le Bad Punk Fest sera de retour pour deux soirs
Cachés dans le quartier des Crottes, non loin du métro Bougainville, les Ateliers Jeanne Barret n’ont en rien manqué au cahier des charges présenté dans la réponse du collectif Circulaire à l’appel à projets lancé par Euroméditerrannée en 2018 : créer un (très grand) espace
Contre toute attente, le Makeda invite ce groupe aux sonorités assez éloignées de ceux programmés habituellement : belle surprise ! Comme son nom l’indique, Pogo Car Crash Control invite tout naturellement au défoulement. Les Parisiens, après trois albums et un EP, se sont forgé un style
Solide comme un rock Quand un duo se sépare, c’est parfois fatal. Mais Sovox a su se réinventer en mode trio, au service d’une musique à mi-chemin entre punk et garage. En attendant un prochain EP. Et bientôt un clip. Lorsqu’un groupe se sépare, on dit couramment
Comme à son habitude, c’est une dose d’anthologie que nous propose le Molotov. Va savoir comment ils font pour programmer autant de trucs un peu fous ! The Morlocks, c’est un groupe de rock punk garage formé en 1984, et, au-delà de sa longévité, on ne
Poète, musicien, éditeur, performeur, Mathias Richard a longtemps exploré les différentes trajectoires que peuvent la voix et le texte. À travers tout, vaste ensemble de textes aux énergies diverses qui retrace six ans de vie à Marseille, oscille constamment entre musique et littérature. Nous revenons
Parfois et sans citer personne, se risquer au concert d’un groupe d’anthologie des années 70 qui ne veut pas raccrocher pour raison égotique ou financière est couronné de regrets instantanés. Loin de s’étrangler en rebranchant le micro, The Stranglers a encore la fougue rythmique de
Rauque & Folk ! Et la tendresse, bordel ? Dans ce monde de bruit et de fureur, on peut rechercher, la nuit, une petite accalmie. Rencontre avec quelques représentants de la scène folk punk phocéenne. À déambuler nuitamment à la faveur de la programmation des petites salles marseillaises, on se dit
Depuis l’album Dirty Centre en 2008 et la tournée qui a suivi, c’était silence radio. Puis, lorsque Dj Pone a quitté le navire Svinkels en 2005 (lui préférant Birdy Nam Nam), ça sentait le sapin. Alors, c’est sans surprise que la reformation du groupe en
Si on n’attendait plus qu’un déclic pour organiser sa prochaine virée verte dans le Luberon, on peut maintenant se targuer d’amorcer son week-end par l’extraordinaire Dope Saint Jude, iconique figure des cultures sous-terraines du Cap, aujourd’hui passée à Londres. Et si les randos sous les
Cette année encore, à l’initiative de l’asso BSM Board Spirit Marseille, la Friche la Belle de Mai se transforme en skatepark géant, et cette fois durant deux jours. Exposition, tatouage, rampe installée dans les Grandes Tables, course de la mort au milieu de bottes de
Bien accordé aux excès d’une météo sur toutes les lèvres, le label « fait par lui-même » Atomic Bongos — propulsé par Laurence Wasser, aux profils qui ne cessent de se multiplier — s’associe pour la seconde fois au Soma. À l’ordre des trois jours, douche de
Ère des belles fêtes ! Depuis onze ans, l’asso musicale phare de La Fare — Rising Dead Boys — s’évertue à « réveiller les hommes morts » à coup de rock bien lourd, en les murs de l’Humus, sa petite salle de diffusion. Grâce à ses locaux de
Voilà qui va rajeunir tout punk ou affilié des premières heures
Depuis l’album Dirty Centre en 2008 et la tournée qui a suivi, c’était silence radio. Puis, lorsque Dj Pone a quitté le navire Svinkels en 2005 (lui préférant Birdy Nam Nam), ça sentait le sapin. Alors, c’est sans surprise que la reformation de 2017 a
« Métal à l’Usine » aurait été plus approprié, même si sous cette appellation œuvrent des groupes aux influences bien différentes, ce qui donne une programmation placée sous la bannière de l’éclectisme, dans cette grande famille bruyante. On pourra écouter du trash folk médiéval avec Ensiferum,
How Did We Get There ? Y a-t-il meilleur adage pour exprimer ce qu’on ressent tous, en cette gueule de bois électorale ? C’est en tout cas le nom de l’album autoproduit tout frais tout blasé des Last Train, ce groupe de punk rock français qui monte
Vingt ans de vie et d’indépendance, comme Ventilo ! Mansfield.TYA travaille ces temps-ci sur des remasterisations pour son album Twenty Years After, le 15 avril dans les bacs. Et parmi les festivals qui savent bien choisir leur timing, Avec le Temps, va, mais tout ne
Le rocher flambant neuf a souffert du séisme viral dès son ouverture, se voyant repousser, recomposer et repenser une programmation savamment ficelée. Triomphant dans la bataille volcanique mesures vs culture, la nouvelle salle aixoise se réinvente et offre une série de concerts salvateurs. Fermeture prolongée
On se délecte de la reprise exponentielle, on s’enivre de toute cette musique libre, des ondes qui volent au vent (chaud). On en deviendrait presque naïfs, inconscients, par autodéfense et reconstruction mentale logique et sensée. Si le crachin se fait petit à petit averse culturelle,
En avance sur le calendrier, l’Embo part déjà à la chasse aux œufs dans les ruelles de la Belle, où l’Italie semble continuer à faire beaucoup du bruit. Ce coup-ci, on est plus premier degré, avec le rock noise brutal d’OvO. Le bébé du millénaire
Mort à la race humaine ! C’est le Death to Mankind qui le dit, qui le chante ou qui le crie selon l’envie. Sublime illustration musicale de la stupidité ambiante, ils n’auront pour seul but que de nous faire danser, danser pour oublier. Après l’écoute
Elles ont beau devenir fréquentes, le refus se fait bloc face aux intempestives douches froides météorologiques. Les remèdes sont multiples mais, admettons-le, un bon gros concert de rock garage dans une ville qui s’appelle Six-Fours, ça promet le réchauffement interne. Sans compter qu’on bout à
Soyez sympas, rEmbobinez ! Le 15 novembre sera lancée l’attendue célébration des quinze ans de Data et de l’Embobineuse. Au programme, deux jours de festivités qui marquent de manière emblématique et symbolique la vie de ces deux structures, et surtout leur survie dans un contexte de politique
On peut définitivement reconnaître au Molotov ce don de proposer une programmation éclectique, internationale, originale et économique. De nouveau et pour n’en citer qu’un, voici le concert de rock à ne pas manquer cette quinzaine. Garage, psyché, post-punk, blues, difficile et inutile de coller une
Entre punk et funk, pas de confusion, mais une fusion. C’est l’idée originale des Bellrays, formés dans les années 1990 par Lisa Kekaula au chant et Bob Vennum à la guitare, qui allient les puissances de la soul et du rock. Le résultat étonne, détone.
Le 25, c’est le 36 du mois. Le cinquième, en un an environ. Un cinquième, mais une première : l’expérience durera toute la nuit. L’idée des 36 du mois ? Celle, jolie, de la compagnie Générik Vapeur, de donner libre cours à l’imagination et la créativité d’un
Les Bouches du Rock Le 29 septembre prochain aura lieu la septième édition de la désormais célèbre et impatiemment attendue Rue du Rock. Chaque année depuis 2013, le dernier dimanche de septembre, la rue Consolat (1er) prend des allures de festival. De 13h à la tombée
Le Makeda nous convie à une soirée indie/rock alternatif, où se mêleront des sonorités noisy, garage-band, pop et post-punk, avec pour base l’indémodable formation guitare/basse/batterie. Après dix années à sillonner les routes et à noircir le papier, il y a bien longtemps que Conger! Conger!