Comme disait Camus, « mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur de ce monde ». Le choix du nom pour un groupe, au même titre que le difficile exercice qui consiste à trouver la bonne étiquette pour le catégoriser, est une tâche périlleuse. Au point que
Fuzz l’éclair ! Le Fuzz, c’est la petite salle marseillaise qui peu à peu fait son trou en mettant en avant la scène locale, nous donnant à nouveau envie de traîner du côté du Cours Julien. Que les choses soient claires : il n’y a guère que les promoteurs
Lésion Blanche, Zad Kokar, Theoreme ou encore Ventre de Biche, nombreuses sont les formations convoquées ici dans Sida, le plus bruyant plan à quatre que le Rhône et le Bas-Rhin aient généré. Ledit groupe incarne le regain de l’avant-garde new-yorkaise, de la no wave hallucinée
Versant mielleux de Colombey, TG Gondard déverse une bonne dose d’amour et d’onction, chante l’exode et l’abandon sur fond de r’n’b digital et bucolique. En dehors de la 8°6, Thibaut Gondard adore s’armer de voix féminines dans ses duos : Armelle (The Dreams), Inès, Chicaloyoh
Lésion Blanche, Zad Kokar, Theoreme ou encore Ventre de Biche, nombreuses sont les formations convoquées ici dans Sida, le plus bruyant plan à quatre que le Rhône et le Bas-Rhin aient généré. Ledit groupe incarne le regain de l’avant-garde new-yorkaise, de la no wave hallucinée
A fond de formes Au-delà d’une semaine de création de formes numériques, le festival arlésien Databit.me injecte de l’humain dans la machine pour revoir notre rapport aux technologies. A vrai dire, la chose nous taraude depuis quelques temps déjà, et semble plus complexe qu’elle n’en a l’air.