Joli retour aux affaires — et en majesté — pour le crooner britannique qui, après six ans de silence, retrouve les scènes françaises pour présenter son nouvel album (le onzième), Foreverland. Un petit bijou de pop orchestrale, un brin surannée, chaleureusement nourrie de cordes qui mettent élégamment en valeur le timbre suave de Neil Hannon. Voilà plus de vingt ans que le songwriter nous bal(l)ade dans son monde si particulier, entre grandiloquence et douce banalité. On repart volontiers pour un tour.
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